Description du Quartier
Après la
mort de mes parents, j’ai déménagé à Paris d’habiter avec ma tante. Elle
habitait dans le douzième arrondissement, dans un petit appartement près de la
Seine. J’avais une salle de moi-même et le soir, avec mon lit à cote de la
fenêtre, j’entendais la Seine. Le son était consolant, et bientôt j’en ai
besoin pour s’endormir. Le fracas des vagues à Nice me manque beaucoup, mais
j’ai appris à chérir la rivière et le reste du quartier aussi.
Dans
les premiers mois avec ma tante, j’ai détesté tout de la ville. J’ai trouvé le
temps d’hiver maussade et oppressif et le paysage grise et désolé. Les rues
étaient chaotiques et tout le monde était à la hâte. La circulation du
Paris-Gare m’était énervée. Je sentais piégée dans un torrent d’activité
constante, quand mon monde avait juste arrêté. Le mouvement de la ville et la
contradictoire immobilité dans ma tête étaient troublants avant qu’un jour j’aie
trouvé une photo dans l’appartement de ma tante. C’était de ma mère, regardant
pensivement par la fenêtre à la Seine. Puis,
quand j’ai réfléchi d’elle, je l’ai imaginé par la Seine.
Depuis
cet instant, j’ai trouve ma mère partout. Elle était dans les jardins, parmi les
fleurs de Bois de Vincennes, elle était le patron au café, un lecteur par la rivière. Je pouvais la imaginer, balader la rue du
faubourg St Antoine et esquissant l’architecture d’Haussmann. Avec le souvenir
de ma mère, le douzième arrondissement était devenu vivant. Le printemps
coloriait la ville avec une essence gaie. Ma mère et Paris m’ont causé d’aimer encore
le mouvement de vie.
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