J6 L’appartement
Quand
Christophe m’a demandé en mariage, il m’a encouragé à vendre mon appartement.
Je passais beaucoup de temps chez il, « tu ne le dois pas, » il a
dit. Christophe a détesté mon petit appartement d’une pièce. Il n’a pas passé
plus que quatre ou cinq soirs chez moi. Ça lui fait sentir pauvre. Mais je ne
l’ai jamais vendu. Mon studio est le seul endroit qui avait toujours être le
mien.
J’habite
au sixième étage de 40 Rue Saint-André des Art, près de la Seine, dans l’ouest
de la ville. La rue est toujours grouillée de monde. Niché parmi un magasin de
touriste et une herboristerie se trouve la porte cochère turquoise. Le métal lourd
avec les designs ronds ornés est bordé par deux colonnes corinthiennes. Cette
porte est la plus élaborée aspect de mon appartement.
On
doit ascendeur l’escalier en colimaçon d’arriver à mon studio. Les pas gris de
marbre sont en contrebas où les années des pieds avaient marché. De bas
d’escalier, la main courante de fer noir semble à tournoyer sans arrête. Au
sommet d’escalier est la porte de mon appartement, marron décolore avec la
peint s’écaille. Pour l’ouvrir on doit frétiller la clé à mi-chemin dans la
serrure ternie. La porte s’ouvrir violemment avec un grincement rapide.
Mon
appartement est la même taille d’une penderie chez Christophe. Un lit modeste
se trouve au coin opposé la porte. La couette décorée avec les fleurs rouges est
bottée au pied du lit. Les vêtements, les livres, les assiettes sales couverts
la salle et la petite table que j’utilise comme un bureau et une table de la
salle a manger. Dans l’évier une montagne des vaisselles est assise en
équilibre instable. à côté de la fenêtre est mon espace de travail. Là, un banc
et chevalet posent, attendre être utilisé. au pied du chevalet est un petit
chalumeau portatif. Adossant contre le mur, des étagères content des centaines
bougies, nouvelles et vieux. Malgré
l’exiguïté du studio, ce coin est mon espace favorite.
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