Journal #6: Mon appartement
Comme
un résident du sixième arrondissement, j’ai sacrifié un appartement bon marché
et spacieux pour vivre dans un quartier avec la beauté et la curiosité de
pensée caractéristique de celui-ci. L’immeuble s’assoie au sommet d’une
brasserie populaire parmi des clergés de l’Eglise de Saint-Germain-des-Prés. J’aime
y visiter pour écouter leur conversations stimulants. Des tables sur le
trottoir, on peut suivre les rangées de balcons qui enveloppent de l’immeuble. L’aspect
plus unique de cet immeuble, toutefois, est l’entrée. Une mince porte rouge,
elle ne se distingue pas avec des mots ou des numéros. La porte compense ce
qu’elle manque en taille avec tel une apparence ostentatoire. Situées sur le 3ème
étage, les portes d’ascenseur ouvrent à l’autre bout du vestibule que mon
appartement. Dès que vous trouvez finalement mon numéro et entrez la résidence,
vous trouvez la plus grande salle de l’appartement. Cette salle, avec un sol
couvert par des planchers de boit, des carreaux, et des tapis, sert deux
raisons importants. Séparée par un petit lot des escaliers, les parties divisées
de cet espace se comporte comme une salle à manger et une salle de séjour. La
pléthore des livres et des photos autour la salle la donne un sentiment plus douillet.
En plus, mon appartement contient deux chambres, une cuisine séparée, et une
salle de bains. Chaque matin, ma femme et moi marchons sur notre petit balcon
pour apprécier un café. Nous trouvons les vues et l’air frais d’être plus
agréable des étagères bas de gamme qui lignent les murs blancs unis de notre
chambre. Je n’entre jamais la cuisine simplement car il n’y a pas assez de
place pour deux personnes ! D’ailleurs, je n’ai pas la patience d’utiliser
les appareils rudimentaires. Leur couleur, un gris mat avec des taches de la
rouille le long des cotes de chaque appareil, n’ajoute rien à l’esthétisme de
la cuisine.
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