Je me rappelle du moment exact quand j’ai reçu la lettre de l’exécuteur
testamentaire. C’était une journée très stressante car le banc a rejeté mon
emprunt pour garder l’agence de voyage. J’étais en train d’arpenter mon parquet
quand tout d’un coup j’ai discerné un tapotement sur ma porte. Quand je l’ai
ouverte j’ai aperçu un homme qui a la cinquantaine, vêtu d’un costume brun et
usé. Franchement, exécuteur testamentaire était ma dernière estimation de son
rôle. « Oui ? » je lui ai demandé brusquement (ma politesse est
la première chose qui disparaît quand je suis tendue). « Klaudia
Kielholz ? » J’ai hoché ma tête. « Votre grand-tante, Julie
Beaumont, vous a laissé sa propriétaire. Je suis ici pour vous expliquer le
processus pour acquérir l’héritage. » Ses mots m’ont complètement frappé.
Grand-tante ? Propriétaire ? Un héritage ? Je ne connaissais pas
cette femme, mais elle partageait le nom de famille de ma mère. Je savais que
la famille de ma mère a coupé tous les liens avec elle parce qu’elle a épousée
un Allemand (la Deuxième Guerre Mondiale était très difficile pour sa famille).
Sauter trois mois plus
tard, et je me trouvais à Paris. Mon appartement expansif dans lequel je trouve
plein d’indices à propos de ma famille maternelle. Mes nouvelles relations qui
éprouvent de la rancune contre moi. C’est une nouvelle vie sans travail mais
plein de personnages bizarres et fascinants.
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