jeudi 10 octobre 2013

J5 corrigé Mélanie Baudin (Lauren Esrig)



Je m’assois nonchalamment au café Les Deux Magots en face de la beauté de l’Église Saint-Germain-des-Prés, respirant le parmin sucré et l’amertume, savourant un café noisette et un croissant juste sorti du four, et discernant les murmures des autres Parisiens qui apprécie une petite pose après une longue journée stressante au travail ou à l’école. C’est ici où des intellectuels et les artistes célèbres, comme John Paul Sartre, Albert Camus et Pablo Picasso, sont allés pour discuter leurs idées profondes. Peut-être ce sont ses histoires et ses conversations, qui sont enfoncées dans les vieux batîments du style classique, qui m’attire au sixième arrondissement. Ou peut-être ce sont tous les monuments, statues, fontaines et jardins que j’ai l’opportunité d’admirer chaque jour, mais de toute façon je me sens chanceuse tous les jours d’habiter dans le quartier latin. 
Mon quartier, traditionnel, animé, et touristique, et l’endroit parfait pour une journaliste. Si j’ai besoin d’un peu d’inspiration pour un article de journal, j’explore en baladant les rues étroites du quartier, sous les balcons filants et en face des portes cochères multicolores à la recherche les nouveaux secrets, ou les histoires mysterieuses. Ce jour là, après avoir fini mon espresso, je promène à côté de la Seine qui se trouve près de mon appartement, perdu dans mes pensées. Je respire l’air frais qui siffle dans les arbres au bord du rivière, et l’atmosphere intellectuel change à une energie plus calme et romantique qui caresse mon âme. C’est ici où je m’assois encore, cette fois avec mon journal personnel et un crayon, pour écrire mes observations.   

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