« Salut, » J’ai dit en haletant au
concierge, ouvrant la porte cochère
lourd avec une plainte. « Il fait très mauvais aujourd’hui. Je suis
gelée jusqu’aux os !
- Oui, Mademoiselle Delanoue, aujourd’hui avait l’air
d’être un peu perturbant.
- Est-ce que ce temps vous dérangez beaucoup,
Monsieur ?
- Non, non… c’est simplement que j’avais
juste entendu par hasard quelque chose considérable !
- Que voulez-vous dire ?
- Je pense que je suis un témoin d’un
crime ! Ce semble que le jeune homme d’appartement 205 se cache une grande
planque de quelque chose très bizarre… »
Le concierge a continué son histoire des secrets 40
Rue Saint-André des Art. Il m’a révélé tous les détails d’une conversation du
téléphone du colocataire de 205. Il m’a dit que l’homme avait parlé d’une
« planque » faible de 20 000 euros. Le concierge m’a expliqué que
l’homme avait chuchoté quelque chose inaudible au téléphone… et puis il avait
divulgué que la planque était cachée dans son réfrigérateur. Hâte de me dit
plus du scandale, la commère a décrit l’intensité de l’homme. D’après le
concierge, cet homme avait parlé avec un air très irrité et agressive, sur le
point d’hostilité. « Faites
attention à vos voisins, mademoiselle, » étaient ses mots d’adieu.
Je suis
monté l’escalier en colimaçon un peu
bouleversé par l’idée d’un crime de cette magnitude qui se passe simplement
quelques étages en dessous de moi. Je me suis demandé ce que l’homme pouvait se
cacher…
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