mardi 29 octobre 2013

J8 Séraphine Delanoue (Jordan Bradley)


« Salut, » J’ai dit en haletant au concierge, ouvrant la porte cochère  lourd avec une plainte. « Il fait très mauvais aujourd’hui. Je suis gelée jusqu’aux os ! 
 Oui, Mademoiselle Delanoue, aujourd’hui avait l’air d’être un peu perturbant.
- Est-ce que  ce temps vous dérangez beaucoup, Monsieur ?
 Non, non… c’est simplement que j’avais juste entendu par hasard quelque chose considérable !
- Que voulez-vous dire ?
 Je pense que je suis un témoin d’un crime ! Ce semble que le jeune homme d’appartement 205 se cache une grande planque de quelque chose très bizarre… »
Le concierge a continué son histoire des secrets 40 Rue Saint-André des Art. Il m’a révélé tous les détails d’une conversation du téléphone du colocataire de 205. Il m’a dit que l’homme avait parlé d’une « planque » faible de 20 000 euros. Le concierge m’a expliqué que l’homme avait chuchoté quelque chose inaudible au téléphone… et puis il avait divulgué que la planque était cachée dans son réfrigérateur. Hâte de me dit plus du scandale, la commère a décrit l’intensité de l’homme. D’après le concierge, cet homme avait parlé avec un air très irrité et agressive, sur le point d’hostilité.  « Faites attention à vos voisins, mademoiselle, » étaient ses mots d’adieu.
Je suis monté l’escalier en colimaçon  un peu bouleversé par l’idée d’un crime de cette magnitude qui se passe simplement quelques étages en dessous de moi. Je me suis demandé ce que l’homme pouvait se cacher…

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire