mardi 15 octobre 2013

J7 Séraphine Delanoue (Jordan Bradley)


J7 Un héritage
            Je me suis réveillé à la sonore fatigante du téléphone. Elle a sonné cinq fois avant j’ai décidé de le décroché.
« Mademoiselle Delanoue ? » La voix raque d’un vieil homme parle avant que je pouvais dire rien.
« Oui ? »
« Je m’appelle George Belanger. Je suis l’avocat d’Annabelle Delanoue. Je suis désolé de vous dire que votre tante était morte le dernier soir. » Je ne peux pas dire un mot.  Il a continué, « elle est morte d’une crise cardiaque. C’était très soudain, vous devez être en choc. » Monsieur Belanger a dit tous ça très vite. Très clinique. C’était une affaire en question. « Actuellement, vous êtes le dernier de la lignée Delanoue. Votre tante vous avez laissé un héritage dans son testament. Si vous êtes libre aujourd’hui je peux vous dire. »
Je n’ai pas su ce que je dois faire, donc j’ai dit « oui » et lui ai donné mon adresse. Dans vingt minutes il était arrivé et nous avons commencé à lire le testament. Tante Annabelle m’a laissé tous ses biens : son appartement à côte de la Seine, ses économies, ses trois chats, et aussi une chose très bizarre que Monsieur Belanger a amené de me donner. C’était une petite boîte carrée et transparente. À l’intérieur on peut voir une pelote de laine grise la taille d’un poing, et fixé sur la pelote est une note tapée que dire « ouvrez-moi. » l’extérieur de la boîte était signe en noir encre, « Duchamp. »
J’ai su immédiatement que c’était vrai. J’ai pensé des possibilités d’un vrai œuvre de Duchamp… s’était valu une petite fortune. Mais je n’ai pas pu arrêté penser à ouvrir la boîte. Est-ce qu’il y a quelque chose dans la pelote de laine ? Je sais que si je la ouvre il sera ruiné, mais la tentation était très forte. Maintenant, je suis affronté avec la question : l’ouvert ou pas ? 

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