jeudi 24 octobre 2013

J7 Corrigé Séraphine Delanoue (Jordan Bradley)


J7 Un héritage Corrigé
             Je me suis réveillée à la sonnerie fatigante du téléphone. Elle a sonné cinq fois avant que j’aie décidé de le décrocher.
« Mademoiselle Delanoue ? » La voix rauque d’un vieil homme parle avant que je pouvais rien dire.
« Oui ? »
« Je m’appelle George Belanger. Je suis l’avocat d’Annabelle Delanoue. Je suis désolé de vous dire que votre tante était morte le dernier soir. » Je ne peux pas dire un mot.  Il a continué, « elle est morte d’une crise cardiaque. C’était très soudain, vous devez être en choc. » Monsieur Belanger a dit tous ça très vite. Très clinique. C’était une affaire en question. « Actuellement, vous êtes le dernier de la lignée Delanoue. Votre tante vous avez laissé un héritage dans son testament. Si vous êtes libre aujourd’hui je peux vous lire. »
Je n’ai pas su ce que je dois faire, donc j’ai dit « oui » et lui ai donné mon adresse. Dans vingt minutes il était arrivé et nous avons commencé à lire le testament. Tante Annabelle m’a laissé tous ses biens : son appartement à côte de la Seine, ses économies, ses trois chats, et aussi une chose très bizarre que Monsieur Belanger a amené à me donner. C’était une petite boîte carrée et transparente. À l’intérieur on pouvait voir une pelote de laine grise la taille d’un poing, et fixé sur la pelote se trouve une note tapée qui dit « ouvrez-moi. » l’extérieur de la boîte est signé en noir encré, « Duchamp. »
J’ai su immédiatement que c’était vrai. J’ai pensé aux possibilités d’une vrais œuvre de Duchamp… pouvait valoir une petite fortune. Mais je n’ai pas pu arrêter de penser à ouvrir la boîte. Est-ce qu’il y a quelque chose dans la pelote de laine ? Je sais que si je l’ouvre ce sera ruiné, mais la tentation était très forte. Maintenant, je suis affrontée avec la question : l’ouvrir ou pas ? 

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