Geneviève Dubois
Michelle (Te Won) Seo
J4 : Un lieu publique qui vous représente - Corrigé
L’énorme jardin duquel j’ai parlé (dans mon souvenir de
Christophe) est mon endroit favori. Christophe avait dit plusieurs fois quand
nous étions jeunes que je ressemble au jardin,
particulièrement au printemps. Avant
que j’aie perdu Christophe, j’avait l’air des couleurs de fleurs vives, juste
après qu’elles ont jailli de la terre fraîche : dynamiques, animées, et pleines de vie. On
s’occupait du jardin de temps en temps mais il n’était pas trop soigné ; ce mode de ranger
lui donne l’air un peu sauvage et naturel. À cause du grandeur du
jardin, il y avait des composants multiples. Il y avait des champs de fleurs
chatoyants qui faisient des « gestes de main » avec leurs feuilles.
Il y avait aussi des espaces plein d’arbres, où on ne peut voir presque rien au
milieu à cause des branchages et
des feuilles qui débordent dans toutes les directions.
« Ces couches de la
variété et cette complexité, ils vous représentent, » Christophe disait
toujours.
Maintenant que je sois devenue plus vieille, je parais plus comme le jardin
à l’automne. Mon grand arbre favori a vieilli avec moi, et ses branches sont
devenues plus nodeuses. Je préfère ces branches à celles du passé, parce que je
sens que ces branchages montrent plus du charactère. À l’extérieur, le jardin
semble tranquille et un peu ordinaire ; les gens qui le passent avec les
autres pensées dans leurs têtes ne s’apercevraient jamais de ces
particularités. Néanmoins, ce jardin naturel semblait plus sauvage particulièrement
à l’automne à cause des feuilles parsemées dans la terre ; ces couleurs et
ces teints de feu des feuilles habillent le jardin aux écarlates vifs et des
oranges brûlées qui réchauffent des cœurs. L’automne a un effet très
interessant sur le jardin ; particulièrement aux espaces plein d’arbres, où on
n’avait pu voir presque rien au milieu au printemps et à l’été, on peut voir entre les branchages, mais on ne peut pas voir la terre sous
des arbres parce que les feuilles ont échangé leurs « sièges ».
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