Quand
je réfléchisse sur l’histoire de ma famille et nos ancêtres, je me sens un peu
inferieur aux personnes qui m’a précédé. Les deux lignes d’où je viens, un de la Bretagne et un de
Paris, possèdent une passe mûr avec la joie et la perte. Mon arrière grand père, un homme
modeste de la Bretagne, s’est élevé à servir comme ambassadeur auprès Nations
Unies pour la France. Il y a quelques années, ma mère m’a
présenté avec une épingle qu’il a portée pendant son service. L’épingle, un cercle tricolore, reste
miroitement encore aujourd’hui, et je la porte avec fierté chaque prise de la
bastille. En plus, ma grand-mère a
accompli plusieurs réussites pendant sa vie, devenant la première femme
d’enseigner à la Sorbonne. Une
femme fougueuse, elle n’a jamais rate de dire ce qu’elle pensait. Sa passion pour la littérature et
l’écriture faite l’opportunité un rêve devenu réalité. La plaque qui restait sur son bureau se
trouve au présent sur mon bureau, et
j’espère de l’utiliser pour inspirer ma fille avenir. Même mon père, un homme qui a perdu ses
parents avant l’âge de 20 ans, est devenu le meilleur présentateur du journal
de Paris. J’ai appris de lui que le travail acharné et un esprit vif
peuvent compenser pour des défis. Son décès prématuré m’a donné quelques
difficultés, mais mon héritage ne me permis pas de l’utiliser comme une excuse.
Je suis fier de mon héritage, un
héritage des épreuves et des succès.
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