Description de L’Appartement: 40 Rue Saint-André des Arts
Bien que j’aime la largeur de mon appartement de quarante-sept mères carrés, et l’emplacement idéal au milieu d’un quartier effervescent dans la coeur de Paris, c’est toujours un peu épuisant que je n’ai pas d’ascenseur. Je prends l’escalier en colimaçon tout le temps pour descendre au rez-chaussé, et pour atteindre mon appartement de moyenne taille au troisième étage. Mais en réalité, notre escalier au milieu de l’immeuble a une beauté et une élégance sans égal avec un parquet rose-royale et une rampe sculpté soigneusement en bronze brillant, qui a l’air de venir d’un château d’un roi ou une reine. Au troisième étage, on peut à peine apercevoir la blancheur de la porte au bout du couloir à droite qui ouvre sur mon appartement de cinq pièces utiles, qui marche bien pour mon mode de vie comme journaliste stressant.
Chaque matin, je me lève avec le soleil à cause des grandes fenêtres sans rideaux en face de mon lit dans ma chambre qui accueillent l’éclat de la lumière et le partagent avec les autres pièces. À moitié endormie, je reste quelquefois immobile, captiver des danses animés qui sont joués sur les murs peints jaune-clair par la douceur de la lumière. Ses danses me fait toujours penser aux peintures de Claude Monet, surtout son oeuvre intitulé L’Impression de L’aube qui mélange les mêmes couleurs que j’observe quotidiennement. Près de ma chambre se trouve ma petite cuisine au charme désuet où je font mon café et sort un croissant avant de partir pour le travail. Avec les appareils d’un style du passé, des tuiles multicolores au plancher, et une certaine énergie familiale, ma cuisine est la copie de la cuisine au maison Baudin à Avignon. C’est mon pièce favori à cause de la nostalgie qui envahit mon corps chaque fois que j’y entre. Avec mon petit-déjeuner, je m’assois dans une chaise en bois près du table en verre à la salle de manger, qui est situer directement à côté de la cuisine traditionnel et près du salon vert-menthe. C’est ici où j’observe tous le jours l’animation de mon quartier par une seule fenêtre qui remplit le mur entier en face du table, et a un balcon filet minuscule.
De l’autre côté de la Rue Saint-André des Arts se situe un école maternelle, avec une porte bleu et un portail en fer. Je souris en regardant les petits enfants curieux et plein de joie avec leurs parents qui les laissent avec une maîtresse enthousiaste. En plus, à l’angle du carrefour se trouvent le Bistro St. André que je fréquente après mon travail pour écouter tous les nouveaux commérages de mes voisins. Même si je ne peux pas voir tous les commerces au long de la rue en bas de l’immeuble blanc sale par ma fenêtre au troisième étage, je sais qu’il y a une pharmacie, une librarie, même un cinéma au bout de la rue, et entre Mondial Art, un magasin de souvenirs très touristique, et une herboristerie, on découvre notre belle porte cochère en fer bleu-vert foncé avec des motifs formés en métal dans un encadrement de colonnes grises.
Avant de partir pour le travail en descendant l’escalier en colimaçon encore une fois, je brosse mes dents et fais mon maquillage à la salle de bain à gauche de ma chambre. L’évier en forme carré et la douche construire en acier suggère un style moderne qui juxtapose le style traditionnel de la cuisine et de la chambre, mais harmonise avec le salon où j’allume toujours la télévision posé au dessus du plancher enboisé pour écouter les nouvelles, et pour découvrir les nouveaux idées pour mon écriture. Finalement, je cherche mon journal personnel et mes articles pour le travail de mon bureau en désordre au coin du salon avant de sortir de la porte ordinaire.
Je ne passe pas beaucoup de temps dans mon appartement simplement parce que je travail des longs heures au Parisien, ou j’erre les musées autour de Paris. Ma famille me manque beaucoup, et mon appartement assez gros, pour une seule fille qui meurt un peu plus chaque jour, à un air juste un peu froid.
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