jeudi 31 octobre 2013

R2 Hugo Belland (Matthew Kasten)



R2: Mon appartement

            Comme un résident du sixième arrondissement, j’ai sacrifié un appartement bon marché et spacieux pour vivre dans un quartier avec la beauté et la curiosité de pensée caractéristique de celui-ci. Cet sacrifie me plait beaucoup, mais parfois je la regrette. L’immeuble s’assoie au sommet d’une brasserie populaire parmi des clergés de l’Eglise de Saint-Germain-des-Prés. J’aime y visiter pour écouter leur conversations stimulants. Des tables sur le trottoir, on peut suivre les rangées de balcons qui enveloppent de l’immeuble. Je ne pouvais pas trouver mon balcon, alors j’ai attache une grande drapeau de la France. Je n’ai plus ces difficultés.
L’aspect plus unique de cet immeuble, toutefois, est l’entrée. Une mince porte rouge, elle ne se distingue pas avec des mots ou des numéros. La porte compense ce qu’elle manque en taille avec tel une apparence ostentatoire. La couleur rouge vif attire les yeux de tout le monde qui passer devant. Situées sur le 3ème étage, les portes d’ascenseur ouvrent à l’autre bout du vestibule que mon appartement. Cet ascenseur, avec origines dans la Seconde Guerre mondiale, n’a jamais été l’emblématique pour fiabilité. Dès que vous trouvez finalement mon numéro et entrez la résidence, vous trouvez la plus grande salle de l’appartement.
Cette salle, avec un sol couvert par des planchers de boit, des carreaux, et des tapis, sert deux raisons importants. Séparée par un petit lot des escaliers, les parties divisées de cet espace se comporte comme une salle à manger et une salle de séjour. La conception de la salle me sert bien sur le weekend, que j’apprécié un exquis repas italien puis traine les pieds a ma canapé daim pour un petit roupillon. Malgré les utilisations contraste de cette salle, la pléthore des livres et des photos autour la salle la donne un sentiment plus douillet.
En plus, mon appartement contient deux chambres, une cuisine séparée, et une salle de bains. Chaque matin, ma femme et moi marchons sur notre petit balcon pour apprécier un café. Nous trouvons les vues et l’air frais d’être plus agréable des étagères bas de gamme qui lignent les murs blancs unis de notre chambre. La moquette à polis longs, avec une couleur orange pâle, ressemble à une conception de style années soixante-dix qui aurait dû mourir avec ca décennie.
La salle de bains, étonnamment, est sans doute la salle plus belle dans mon appartement. Couvrant tout le sol, les carreaux de pierres multicolores attirent l’attention de chaque personne qui utilise cette salle. En plus, dans la douche, les jets d’eau sur trois cotes créent une expérience embué et rafraîchissant.
Je n’entre jamais la cuisine simplement car il n’y a pas assez de place pour deux personnes ! D’ailleurs, je n’ai pas la patience d’utiliser les appareils rudimentaires. Leur couleur, un gris mat avec des taches de la rouille le long des cotes de chaque appareil, n’ajoute rien à l’esthétisme de la cuisine.
L’appartement, avec ses nombreux défauts et ses faiblesses, sert comme un vrai foyer pour moi et ma femme. Elle me dit souvent que c’est le gens, pas les choses, qui font un endroit spécial. Toutefois, j’espère d’utiliser l’adoption de nos enfants futurs comme justification pour un nouvel appartement.


J7 Hugo Belland (Matthew Kasten)


            Quand je réfléchisse sur l’histoire de ma famille et nos ancêtres, je me sens un peu inferieur aux personnes qui m’a précédé.  Les deux lignes d’où je viens, un de la Bretagne et un de Paris, possèdent une passe mûr avec la joie et la perte.   Mon arrière grand père, un homme modeste de la Bretagne, s’est élevé à servir comme ambassadeur auprès Nations Unies pour la France.   Il y a quelques années, ma mère m’a présenté avec une épingle qu’il a portée pendant son service.  L’épingle, un cercle tricolore, reste miroitement encore aujourd’hui, et je la porte avec fierté chaque prise de la bastille.  En plus, ma grand-mère a accompli plusieurs réussites pendant sa vie, devenant la première femme d’enseigner à la Sorbonne.  Une femme fougueuse, elle n’a jamais rate de dire ce qu’elle pensait.  Sa passion pour la littérature et l’écriture faite l’opportunité un rêve devenu réalité.  La plaque qui restait sur son bureau se trouve au présent sur mon bureau, et j’espère de l’utiliser pour inspirer ma fille avenir.  Même mon père, un homme qui a perdu ses parents avant l’âge de 20 ans, est devenu le meilleur présentateur du journal de Paris. J’ai appris de lui que le travail acharné et un esprit vif peuvent compenser pour des défis.  Son décès prématuré m’a donné quelques difficultés, mais mon héritage ne me permis pas de l’utiliser comme une excuse.  Je suis fier de mon héritage, un héritage des épreuves et des succès.

mercredi 30 octobre 2013

J8 Gabrielle Floret (Emma Cohen)

J8 Le Concierge Dévoile des Secrets Sur les Locataires


Un soir froid, après avoir flâné à travers le Jardin du Luxembourg avec Louis, je suis rentrée à la maison de mon immeuble. Il avait été une longue semaine, comme je l'avais été très occupé avec beaucoup de différents projets photographiques pour divers clients qui j'avais travaillé sur. Le ciel était beaucoup plus clair que d'habitude à cette époque de l'année, et je ne pouvais même voir la moindre ressemblance avec des étoiles dans le ciel généralement nuageux. Louis a ouvert la voie dans le hall de l'immeuble, et j'ai vu notre concierge de nuit assis derrière le bureau. Lorsque nous avons pris contact avec les yeux, il s'est immédiatement levé et est venu vers moi.
« Bonsoir mademoiselle Floret, j'espère que vous étiez dehors pour profiter du beau temps que nous tenons », il a dit d'une manière très chaleureuse.
-       Oui j'étais, je répondis, je n'ai que peu de choses sur mon esprit à penser.
-       Malheureusement, mademoiselle, je crois que j'ai quelque chose d'autre qui pourrait ajouter à vos problèmes existants.
Je l'ai regardé bizarrement et lui ai demandé de continuer.
-       Il y a eu un vol dans le bâtiment, et l'un de nos locataires est manquant beaucoup de biens de valeur.
-       C'est affreux! Avez-vous trouvé le coupable du vol?
-       Je crains que non mademoiselle, mais la police soient amenés à croire que le criminel est un locataire de cet immeuble.

Cela m'a laissé avec un sentiment très troublant dans mon estomac, et même Louis pouvait sentir quelque chose n'allait pas, car il se mit à aboyer.

mardi 29 octobre 2013

J8: Geneviève Dubois (Michelle Seo)

Geneviève Dubois
Michelle (Te Won) Seo
FREN 300 : 14h00
J8 : Le concierge dévoile des secrets sur les locataires
             « C’est vrai ?! Marc ?! » je m’exclame.
             « Shhh ! Pas si fort ! Oui, je l’ai vu plusieurs fois. Il y a toujours des femmes différentes qui viennent. Quelquefois, il y a des hommes aussi ! » Martin dit avec les yeux écarquillés.
             « Mais il a un petite copine, n’est-ce pas ?
             – Oui, c’est le problème. S’il n’a pas une copine, cela serait plus acceptable. Mais il amène une fille différente chaque nuit, et certains soirs, il amène un homme...
             – Peut-être l’homme est son meilleur ami ?
             – Non, je ne le pense pas... Je les ai vus quand ils s’embrassent !! »
Je bavarde avec le concierge, Martin ; nous aimons faire des commérages. Il m’a dit que Marc Pieds-Guimauves, un jeune journaliste qui habite au sixième étage, il trompait toujours sa copine avec des dizaines d’autres. Il a dit que sa copine ne savait rien, parce qu’elle travaillait beaucoup tous les jours et elle n’avait jamais de temps libre.
« Il dit toujours à ses amants qu’il aimait « les distractions ». C’est un peu bizarre, n’est-ce pas ?
– Est-ce qu’elles (ou ils, je dois dire) aimaient écouter ça ? C’est vraiment étrange... Mais je suis vieille, donc peut-être les jeunes sont différentes.
– Oui, ils aiment tous la phrase ! Il marche à chaque fois... 
– Les jeunes aujourd’hui sont vraiment étranges... »

Je sais que je suis aussi un peu étrange, mais j’ai des voisins très bizarres. 

Louis Blanc (James Graham ) J8

James Graham
J8

            Tous les jours quand je quitte l'immeuble, le concierge me dit un fait intéressant. Il me disait énigmes auxquelles je ne pourrais jamais imaginer la réponse ou il me donnerait questions dans le style d'une émission de jeu télévisé. Un jour, je lui ai parlé de la façon dont ma mère était dans un asile. Je ne sais pas pourquoi je lui ai dit. Généralement, nos conversations ont été brèves et joyeux. Il semblait un peu contrarié par mes remarques. Peut-être, il avait un membre de la famille dans une situation similaire. Après ce jour, il a commencé à me faire des confidences au sujet de mes amis dans le bâtiment, en particulier Hugo Belland.
            Il m'a dit que Hugo n'a pas réellement croire en le mormonisme. Je lui ai dit qu'il avait tort et que c'était impossible. Hugo a vanté sa conviction chaque jour. Il était fier d'être un homme de Dieu. Malgré mon incrédulité, il a continué à me faire des confidences au sujet de mes camarades. Par exemple, il m'a dit que le anut de Sera n'est pas mort. Il m'a dit qu'elle s'est enfuie. Cela continue pendant plusieurs semaines. Je ne croyais pas tout ce que le concierge m'a dit. Il ne pouvait pas être vrai. C'était un petit vieillard au visage ridé, qui a utilisé une canne pour marcher. Il mâchait du tabac et empestait de l'alcool tous les jours.
            Quand j'ai quitté le bâtiment pour mon anniversaire il ne m'a rien dit. C'était très bizarre. Quand je suis rentré, je lui ai demandé <<êtes-vous d'accord?>>
-       <<Oui, monsieur, pourquoi ne demandez-vous?>>
-       <<Pourquoi n'avez-vous pas essayé de me dire un autre secret, ce matin?>>
-       <<Parce que le prochain secret est sur ​​vous. Je ne sais pas si je dois vous le dire.>>
-       <<Dites-moi. Je n'ai pas de secrets.>>

-       Monsieur, je sais que vous avez l'intention de tuer Hugo quand il vous rend visite à la morgue de demain.

J8 Séraphine Delanoue (Jordan Bradley)


« Salut, » J’ai dit en haletant au concierge, ouvrant la porte cochère  lourd avec une plainte. « Il fait très mauvais aujourd’hui. Je suis gelée jusqu’aux os ! 
 Oui, Mademoiselle Delanoue, aujourd’hui avait l’air d’être un peu perturbant.
- Est-ce que  ce temps vous dérangez beaucoup, Monsieur ?
 Non, non… c’est simplement que j’avais juste entendu par hasard quelque chose considérable !
- Que voulez-vous dire ?
 Je pense que je suis un témoin d’un crime ! Ce semble que le jeune homme d’appartement 205 se cache une grande planque de quelque chose très bizarre… »
Le concierge a continué son histoire des secrets 40 Rue Saint-André des Art. Il m’a révélé tous les détails d’une conversation du téléphone du colocataire de 205. Il m’a dit que l’homme avait parlé d’une « planque » faible de 20 000 euros. Le concierge m’a expliqué que l’homme avait chuchoté quelque chose inaudible au téléphone… et puis il avait divulgué que la planque était cachée dans son réfrigérateur. Hâte de me dit plus du scandale, la commère a décrit l’intensité de l’homme. D’après le concierge, cet homme avait parlé avec un air très irrité et agressive, sur le point d’hostilité.  « Faites attention à vos voisins, mademoiselle, » étaient ses mots d’adieu.
Je suis monté l’escalier en colimaçon  un peu bouleversé par l’idée d’un crime de cette magnitude qui se passe simplement quelques étages en dessous de moi. Je me suis demandé ce que l’homme pouvait se cacher…

J8-Mélanie Baudin (Lauren Esrig)



       L’obscurité de la nuit m’a étouffé. Les feuilles attachés aux arbres dehors mes fenêtres étaient des monstres qui m’ont menacé. Je bouge à gauche et à droite dans mon lit en essayant de m’endormir, mais mes efforts pour attraper un peu de sommeil était futile. À trois heures du matin, mon petit bataille interne était abandonner et j’ai décidé de faire une promenade autour du quartier pour me calmer. Le silence complète dans les couloirs et dans l’escalier en colimaçon m’a suivi jusqu’à-ce que le concierge a interrompu mes pensées nocturnes. 
  - <<Mademoiselle Baudin,” dit le concierge avec une calme curieuse, “pourquoi flânez vous autour de l’immeuble à cette heure.
  -C’est l’insomnie Monsieur, je voulais me balader un peu pour que je puisse avoir de l’énergie pour le travail demain. 
-Ah, je comprends. 
-Désolé pour vous embêter, je sais que c’est bizarre d’être réveillé à trois heures du matin. C’est probablement une rareté de voire une de vos locataires si tôt!
-En fait non. Hier soir M. Marc Pieds-Guimauves a rencontré trois grandes hommes cachés dans des longs manteaux noirs au milieu de la nuit, près de la porte cochère.>>
Il m’a expliqué que ce groupe d’hommes mystérieux et inquiétant avaient donné une mallette lourd à Monsieur Pieds-Guimauves. Quand je lui ai demandé s’il avaient pu discerner leurs visages, il m’a répondu qu’ils avaient porté les masques pour les couvrir. Il m’a confié aussi que Marc avait eu l’air terrifié quand il était retourné dans l’immeuble avec sa mallette noir.  

Klaudia Kielholz (Annie Lloyd) J8

Cet après-midi j’attends au rez-de-chaussée pour ma cousine. Elle veut parler avec moi à propos d’un journal que j’ai trouvé dans mon appartement. Là-dans reste un billet de train de Paris à Normande en 1972. La couleur du billet passe mais on peut encore identifier le nom de ma grand-tante en haut du papier. La raison pour laquelle on s’intéresse à ce billet est que nous avions pensé que ma grand-tante a arrêté de parler à ma mère après qu’elle s’est mariée. Aujourd’hui on va essayer de découvrir plus de secrets de ma grand-tante. En attendant, le concierge commence à me parler. Elle me demande : « Est-ce que vous avez entendu le bruit qui a résonné hier soir ?
-       Oui, cela m’a vraiment choqué. Je pense qu’il est venu du quatrième étage.
-       Avez-vous une idée de l’origine de ce bruit ?
-       Non, mais j’ai observé un homme assez bizarre qui est entré dans l’appartement hier soir. »

Le concierge continue en disant qu’elle a vu cet homme aussi. Elle le décrit comme un homme louche qui portait un sac d’une forme bizarre dans ses mains. Je réponds en demandant si elle a déjà vu cet homme dans le bâtiment. Elle me dit que non, mais qu’elle a vu Jean-Luc avec un sac similaire il y a quelques jours. Ce commentaire me prend au dépourvu. J’explique au concierge que j’ai observé Jean Luc en train de parler sur son mobil avec colère dans la ruelle près de notre appartement il y a deux jours. Les yeux des concierges ont illuminé avec cette nouvelle.