mercredi 25 septembre 2013

R1 Bijou Beauchamp et Gabrielle Floret (Emma Cohen)



Un Portrait d’un Voisin


            Un dimanche dans le milieu de l'automne, je prenais une promenade à travers mon endroit préféré, le Jardin du Luxembourg. Le soleil brillait, mais l'air froid envoyé des frissons dans le dos. Mon chien Louis marchait avant en arrière sur le chemin reniflant les fleurs flétries. L'air était vif et rapide, et une brise rafraîchissante brossé mes cheveux en arrière hors de mes épaules. Le jardin était plus vide que d'habitude, sans doute à cause du temps froid. Je ne me dérangeais pas, parce que je préfère avoir tout le lieu pour moi.
            Tout en marchant devant la fontaine en face du palais, j'ai vu quelqu'un du coin de mon œil. Loin sur le chemin, il était une figure penchée sur un buisson de fleurs. Le chiffre lentement se redressa, et je tendis les yeux pour mieux voir. Elle avait un état de grâce à sa présence dans le jardin, et se tenait avec un air d'élégance. Même de loin, je pourrais dire qu'elle était impeccablement habillée, comme quelqu'un qui a passé sa vie entourée de la mode. Je mène Louis vers elle pour voir de plus près.
            La femme semblait être autour de cinquante ans, mais avait très gracieusement ans et paraissait encore jeune. Sa silhouette était mince, mais tout en courbes et féminin ainsi. Son bien adapté vêtements lui allait parfaitement, et est infroissable. Même de loin, je vois que sa peau est lisse comme un riche chocolat au lait. La seule imperfection que je peux remarquer, c'est une petite cicatrice sur sa joue gauche, qui ressemble un peu à un croissant de lune. Ses cheveux gris sont parfaitement peignés et brillant, ce qui reflète la lumière du soleil d'après-midi. Elle sourit comme elle respire le parfum des fleurs, et les pauses dans un sourire. Ses dents sont blanc nacré et parfaitement droite, entourée de lèvres rouges luxuriants. Elle doit avoir remarqué me tenir là, car elle se tourne vers moi et me regarde avec ses yeux perçants de noisette, et ses sourcils arqués soulevée dans une expression de surprise.
            J'ouvre la bouche pour murmurer des excuses pour la regarder, mais je suis à court de mots. Il y a quelque chose au sujet de ses caractéristiques les plus frappantes qui me rappelle quelqu'un que je connaissais une fois. La femme de mystère continuait à me regarder, mais j'ai été gelé en place comme si mes pieds étaient devenus collés au sol. Louis commence à tirer sur la laisse, parce qu'il est devenu fatigué de tourner en rond, en reniflant sa queue. J'ai craqué retour à mon sens tout d'un coup et s'éloigna rapidement passé à la femme de retourner à la maison à mon appartement.

            Quand je suis rentré, j'ai senti une traction vers un vieil album ma mère avait une fois mis ensemble, de ses croquis et dessins portés par les modèles. Mon père avait aimé la photographie comme un passe-temps, et souvent aidé ma mère en prenant des photos de mannequins portant ses projets les plus avancés. Comme je feuilletais les pages en lambeaux, je me suis senti un douloureux comme je le faisais souvent quand je pensais à mes parents. Une des photos a attiré mon attention, car il y avait une jeune, mince beauté qui me fixait. Ses yeux noisette et la peau chocolatée, mais plus de vingt ans son cadet, ne pouvaient pas être confondus avec.

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