Les ombres dansent à travers le marbre
doux, allumé par les cierges nombreux. Les plis profond semble aux petits
serpents, ondulent dans la lumière vacillant. La figure se tient debout, une
image stoïque et sombre avec l’air d’un gardien royal. Les yeux omniscients regardent fixement de la
tête guillotinée qui est teint dans les bras de la statue. Il y a une
tranquillité silencieuse comme si le temps est suspendu dans l’air.
Occasionnellement les petits murmures sont entendus à travers la cathédral,
mais ils se mélangent et deviennent bruit blanc, la bande-son de réfléchir.
Encerclé
par les cierges, la chaleur desquels touche à peine ma peau frigide, je m’assieds
sur un banc avec les yeux fermés. Je peux sentir les yeux de Saint Denis sur
moi. Il m’écoute, mais au même temps il partage son histoire. De la derrière des
paupières je peux voir les flammes sautant. Le rythme de ma respiration devient
stable.
Je
viens au Cathédrale Notre Dame de faire de médiateur. Quand je dois s’évader le
chaos du café et l’activité de Paris, je s’esbigne au Cathédrale ou je sais mon
amis Saint Denis m’attend. Il est un peu ironique qu’un homme sans une tête
puisse m’aider de perdu la mienne. Saint Denis sait tout des tragédies de ma
vie; du grand feu qui s’est terminé ma jeunesse, de la morte de ma mère, de mon
père perdu, et du plus récent affaire avec Christophe. Plongé dans le feu des
cierges, je suis consolé par le calme et mon compagnon pierre.
Il
est après crépuscule quand je pars Notre Dame et retourne à mon appartement
avec l’esprit clair et une nouvelle idée pour un tableau.
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