mardi 24 septembre 2013

R1: Séraphine Delanoue (Jordan Bradley)


Un Voisin
            Je suis à coté d’une maison. Il faisait chaud et noir, la maison est lumineuse et couverte dans des ombres. Par la maison, avançant un homme élonge portant tous noir. Il balaye du regard le site jusqu’à il me voit. Quand ses yeux calent sur moi, je me sens un frisson froid en haut ma colonne vertébrale. Et puis, je me réveille.
            Ce rêve se répète fréquemment. Tous les temps il est le même lieu mais chaque fois, il y a un nouvel homme. Normalement, je ne le connais pas, mais cet homme est mon voisin. Jean-Luc habit cinq porte de moi, dans le même couloir. Je le vois souvent quand je le passe en chemin à la salle. Il sent toujours du alcool et des cigarettes. Portant un t-shirt noir, un jean bleu foncé, et des bottes daim, il marche avec sa tête baissée, comme une belle rose mourant. Ses vêtements sont toujours noirs mais avec les qualités chères et fines. Son style est chic et aisé, mais il est clair qu’il est un façade bien crée.
Cet homme n’était pas très amiable ou gentilé. Il ni me sourire ni me dit « bonjour ». Il semble qu’il préfère prendre sur soi, mais au beaucoup d’occasions j’ai regardé les femmes quittent son appartement très tôt au matin. Je n’ai jamais vu la même femme deux fois. Au début, il semble que l’arrogance de Jean-Luc soit le seul testament à son caractère. Il ne m’a jamais dit, et j’ai supposé qu’il était a cause de son égoïsme. Mais, je suis certain qu’il est quelque chose de Jean-Luc que je ne comprends pas. Il est un mystère. 
            La semaine dernière, après un jour très longue au café, j’ai décidé d’aller au restaurant. J’ai voulu aller au endroit que je n’ai jamais allée, donc j’ai choisi un restaurant de cuisine fusion américaine-méditerranée s’appelle « Echapper ». Quand je suis entrée le restaurant, je me suis frappée immédiatement par les couleurs extensives qui étaient incorporés. Il y avait beaucoup de mosaïques vives et élaborées avec une atmosphère gaie mais sophistique à la même fois. Le parfum frais de blé imprégnait l’air.
            L’hôte m’a reçu et le serveur m’a amené à une petite table dans un coin du restaurant. « Est-ce que je pouvais amener quelque chose de boive, Mademoiselle ? »
            « Oui, je voudrais le bière signature », j’ai dit. Le serveur a disparu, et un moment plus tard, Jean-Luc était a ma table avec un demi. Choqué par son apparence, je ne pouvais pas m’empêcher de lui regarder fixement. Son physique costaud et solide semblait de remplir la salle. Comme une vivante statue du Renaissance, il était devant moi, ses traits élongé et puissant. J’ai remarqué son nez Grec qui définissait son visage fort. Mais contrairement d’un statue de marbre, la peau de Jean-Luc avait le teint olive et les cheveux sont noirs de jais.  Ses yeux captivant, une couleur éblouissante de vert pur illuminait son regard. C’était le première fois je l’ai vu confident et impressionnant.
            « Bonjour Séra, je ne l’ai jamais vue à « Echapper » », Jean-Luc m’a dit avec un petit sourire contraire son expression maussade qu’il porte normalement.
            « C’est mon premier fois, » j’ai dit, un peu stupéfait par sa présence.
            « Et qu’est-ce que tu penses ? » Il y avait un soupçon d’allure dans sa voix douce.
            « C’était magnifique. Es-ce que c’est le tien ? »
            « Oui, c’est ma joie et ma fierté. Je suis content de le partager avec toi. » Et avec ça, il est parti avant que je puisse répondre.
Depuis ce moment, quand je le vois, Jean-Luc me donne un demi sourire, mais il ne dit pas de mot. Les femmes partent toujours son appartement très tôt tous les jours, il sent toujours de bière, et il est toujours ténébreux, mais ca sourire me dit qu’il est plus qu’il n’y paraît de Jean-Luc.

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