lundi 9 septembre 2013

Séraphine Delanoue (Jordan Bradley) J2


Portrait: Reflet
Quelquefois je pense que si j’étais plus sensé, je n’aurais pas de miroirs dans mon immeuble.  Ils empêchent de se concentrer. Quand je travail, je les couvert. Je ne peux pas penser à mon œuvre si j’entrevois toujours à mon reflet. Ne suppose pas que je suis narcissique.  Il est simplement que je me trouve capté par l’inconnue qui me fixe.
            Regardant de l’intérieur du miroir est un visage ovale et anguleux. Indépendamment d’expression, le visage est d’une fée, petit et pointu, avec un nez long mais discret. Saupoudré à travers le nez et les pommettes sont des taches de rousseurs, qui débordent sur ses épaules. Les cheveux de l’inconnue est long crinière auburn et intenable. Pour ça raison, elle porte toujours les cheveux en chignon, et pourtant quelques boucles s’évadent.
Sur le peau pâle de la omoplate droite est le tatouage d’un loup, imprimé comme les aquarelles sur la toile. Le manteau de fourrure bleu gris du loup est vif opposé aux tourbillons magenta et prune qui serve de l’atmosphère d’animal. En contraste de sa silhouette délicat, le tatouage féroce évoque un air de la fierté trop rempli pour sa corps. Cette fierté sublime est captivante et enchanté.
Mais plus que tout c’est les yeux qui me tiennent. Bleu foncé, comme le couleur du ciel après le crépuscule était expiré, ils me pénètrent, mais pas avec le sentiment tranchant. Ces yeux capture avec les picotements que coururent sur mon corps. Ses yeux semblent vides, mais au même temps ils sont complices, pas de tout naïfs. Ça c’est ce qui si effrayant. L’énigme de cette personne dans le miroir est toujours saisissante. Elle est accablé par les secrets, mais elle possede un determination constant. La presecance de cette figure est dominateur mais a la meme fois, si loin d’ici.
Mon café chute de ma main, se percute au sol et rompt l’enchantment. L’inconnue –le reflet de moi-même – est seulement un visage vide. 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire