mardi 17 septembre 2013

J4: Geneviève Dubois (Michelle Seo)

Geneviève Dubois
Michelle (Te Won) Seo
J4 : Un lieu publique qui vous représente
             L’énorme jardin duquel j’ai parlé (dans mon souvenir de Christophe) est mon endroit favori. Christophe avait dit plusieurs fois quand nous étions jeunes que je ressemble au jardin, particulièrement au printemps. Avant que j’aie perdu Christophe, j’ai eu l’air des couleurs de fleurs vives, juste après elles ont jailli de la terre fraîche : dynamique, animé, et plein de vie. On s’occupait du jardin de temps en temps mais il n’était pas trop soigné ; ce mode de ranger lui donne l’air un peu sauvage et naturel. À cause du grandeur du jardin, il y avait les composants multiples. Il y avait des champs de fleurs chatoyants qui faisient des « gestes de main » avec leurs feuilles. Il y avait aussi des espaces plein d’arbres, où on ne peut voir presque rien au milieu à cause des branchages et des feuiles qui débordent dans toutes les directions. « Ces couches de la variété et cette complexité, ils vous représentent, » Christophe disait toujours.

Maintenant que j’aie devenu plus vieille, je parais plus comme le jardin à l’automne. Mon grand arbre favori a vieilli avec moi, et ses branches ont devenu plus nodeux. Je préfère ces branches aux celles du passé, parce que je sens que ces branchages montrent plus du charactère. À l’extérieur, le jardin semble tranquille et un peu ordinaire ; les gens qui le passent avec les autres pensées dans ses têtes ne s’apercevraient jamais ces particularités. Néanmoins, ce jardin naturel semblait plus sauvage particulièrement à l’automne à cause des feuilles parsemés dans la terre ; ces couleurs et ces teints de feu des feuilles habillent le jardin aux écarlates vifs et des oranges brûlées qui réchauffent des cœurs. L’automne a un effet très interessant sur le jardin ; spécialement aux espaces plein d’arbres, où on n’avait pu voir presque rien au milieu au printemps et à l’été, on peut voir entre les branchages, mais on ne peut pas voir la terre sous de ces arbrea parce que les feuilles ont échangé leurs « sièges ». 

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