mardi 10 septembre 2013
Mélanie Baudin (Lauren Esrig) J2
Dans l’ombre d’un gros arbre aux jardins Tuileries, j’assis complètement satisfait avec mon journal
personnel. Mon corps fluet et élancé est posé comfortablement contre le tronc. Finalement, un moment
seulement à moi. Les feuilles en haut jette un motif mosaïque sur mon visage ovale, et mon nez
retroussé. Même si mes levres sont plissés en concentration, mes yeux de biches bleu-clairs, caché
derrière une paire de lunettes violettes, montre une certaine humeur pensive et mysterieuse. Mes boucles
châtins misent dans un chignon combiner avec mes vêtements féminins me fait penser à une ballerine
délicate, mais aussi intelligente, grâce à mes lunettes et mon journal.
Quelques garçons passent devant moi et ils sourient dans ma direction. Je perd mon calme, et étant
nerveuse comme une fille au collège, je fais tomber mon journal. J’ose dire quelque chose séduisante,
mais en faite mon innoncence triomphent, et, avec un petit gloussement, je redirige mon attention à mon
écriture.
Mes mots se comportent comme mes amis. Je suis le plus honnête et le plus sage dans mon journal
où se trouve mes secrètes les plus profonds et les plus sombres. Mon façade toute gentille masquent mes
jalousies, les tragedies de ma vie et mes opinions pessimistes qui sont presenté. Même si mes gestes,
mes habitudes et mon allure démontre une jeune femme gentille, timide, mais aimable et content, mes
yeux suggèrent une grande tristesse.
Enfin, c’est l’heure de retourner au travail au Parisien comme journaliste, alors avec la grâce et
solitude d’un bébé cerf, je rassemble tous mes affairs, monte sur ma bicyclette, et traverse les jardins en
pensant.
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