J3 Le
Souvenir
Le soulagement
afflue sur mon corps quand l’horloge sonne trois heures. Mon roulement est
finalement fini. Le travaille ce matin au café était insoutenable. Je ne peux
pas arrêter penser d’un nouveaux idée pour un œuvre. Dans ma tête il y a un
visage qui me regarde fixement. Les doux yeux bruns me caresse et ils me font
trembler. Je dois les rendre sur une toile immédiatement.
La dernière année,
ses yeux étaient mon monde. Ils appartenaient à mon fiancé. Actuellement mon
ex-fiancé. Nous nous sommes rencontrés il y a trois années devant le Louvre. Il
était un jour d’automne très venteux, et un coup de vent aussi fort qu’un des
poumons de Zéphyr a déroulé mon écharpe. L’étoffe crème a fouetté à travers le
ciel et j’ai pensé qu’il a été perdu. Mais soudainement un grand homme a couru à
coté de moi avec l’écharpe dans sa main. Il l’a glissée autour du cou.
« Parfait, » il m’a dit. Cette jour, ses yeux brillaient si éclairé
qu’ils ont me rempli avec une chaleur que je n’aurais pas senti pendant des
années. C’était comme il a commencé un feu grave dans mon cœur. Je n’oublierai
jamais cette sensation.
J’espère que, quand
je pense à Christophe, je peux oublier cette chaleur. Si je peux se rappeler
seulement le désespoir et le vide qui devenaient un élément constant de notre
rapport, il serait plus facile de croire de lui avec répugnance ou peut-être
encore indifférence. Quelque fois, je veux l’haïr. Mais je ne peux pas. Je ne
peux pas haïr quelqu’un qui a fait ma vie luire, qui a fait mes rêves chatoyer.
Christophe a brûlé mon cœur. Le marque il m’a laissé ne me quittera jamais.
Le souvenir de lui
est commencé d’inquiéter ma paix fragile. Si je ne retourne pas rapidement à
mon immeuble et déplace ses yeux de mon tète à une toile, cette façade de
tranquillité va fracasser, et je devrai remonter encore les pièces de ma vie.
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