mercredi 11 septembre 2013

J3: Séraphine Delanoue (Jordan Bradley)


J3 Le Souvenir
Le soulagement afflue sur mon corps quand l’horloge sonne trois heures. Mon roulement est finalement fini. Le travaille ce matin au café était insoutenable. Je ne peux pas arrêter penser d’un nouveaux idée pour un œuvre. Dans ma tête il y a un visage qui me regarde fixement. Les doux yeux bruns me caresse et ils me font trembler. Je dois les rendre sur une toile immédiatement.
La dernière année, ses yeux étaient mon monde. Ils appartenaient à mon fiancé. Actuellement mon ex-fiancé. Nous nous sommes rencontrés il y a trois années devant le Louvre. Il était un jour d’automne très venteux, et un coup de vent aussi fort qu’un des poumons de Zéphyr a déroulé mon écharpe. L’étoffe crème a fouetté à travers le ciel et j’ai pensé qu’il a été perdu. Mais soudainement un grand homme a couru à coté de moi avec l’écharpe dans sa main. Il l’a glissée autour du cou. « Parfait, » il m’a dit. Cette jour, ses yeux brillaient si éclairé qu’ils ont me rempli avec une chaleur que je n’aurais pas senti pendant des années. C’était comme il a commencé un feu grave dans mon cœur. Je n’oublierai jamais cette sensation.
J’espère que, quand je pense à Christophe, je peux oublier cette chaleur. Si je peux se rappeler seulement le désespoir et le vide qui devenaient un élément constant de notre rapport, il serait plus facile de croire de lui avec répugnance ou peut-être encore indifférence. Quelque fois, je veux l’haïr. Mais je ne peux pas. Je ne peux pas haïr quelqu’un qui a fait ma vie luire, qui a fait mes rêves chatoyer. Christophe a brûlé mon cœur. Le marque il m’a laissé ne me quittera jamais.
Le souvenir de lui est commencé d’inquiéter ma paix fragile. Si je ne retourne pas rapidement à mon immeuble et déplace ses yeux de mon tète à une toile, cette façade de tranquillité va fracasser, et je devrai remonter encore les pièces de ma vie.

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