mercredi 11 septembre 2013

J3 - Morelle Duchamp (Elena)


Sept ans après, l’image du feu flambait encore dans les yeux. Je peux rappeler si clair le jour qui a précédé ce nuit finale, celui qui a mis fin ma vie avant. C’était un jour comme tous les autres et pour cette raison il est plus cruelle - je n’avais aucune idée qu’est que passerait.
            Au matin, je me suis réveillée tôt dans mon lit à l’odeur du pain chaud qui est venue de la cuisine. Je l’ai suivi donc j’ai trouvé mes parents à la table, maman en train de couper le pain et papa regardait quelque chose en dehors de la fenêtre. Dans l’esprit, je fais une pause toujours à ce moment. Je les regarde and je souhaite que je peux rester ici. Mais en réalité, je suis entrée la cuisine, ma mère m’a embrassé et ma père a tourné vers moi, il a sourit et il a dit « tu senti cela ? » J’ai dis « Bien sûr ! Le pain est parfait, maman. » « No,» il a dit, « la fraxinelle se fleurit. Le jardin sent du limon. » 
            C’était dimanche. Nous avons mangé lentement le petit déjeuner et après nous sommes allés au jardin. Ma mère a mis les gants de jardinage pour tailler les fleurs. Je me suis assis sur un banc avec un livre des poésies de Baudelaire mais immédiatement mon père s’est assit prés de moi avec son dictionnaire botanique et il a commencé de lire la page de fraxinelle. Je n’ai pas écouté, j’ai joué avec le chat qui frottait contre le banc.
            Nous avons passé toute la journée au jardin comme ça. J’ai recueilli des carottes, de la laitue, des radis et des concombres pour faire une salade que nous avons mangé avec le diner. Quand la nuit est tombée, mes parents sont allés au lit mais moi, je m’ai posé à côte du parterre de fleurs pour observer les étoilés et j’ai dérivé à dormir. Quand je me suis réveillé, la maison brulait. 

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