mardi 24 septembre 2013

R1 Hugo Belland/Louis Blanc (Matthew Kasten)

Matthew Kasten

Rédaction #1
- Louis Blanc -

            Comme je m’assieds au bureau en faisant de payer les notes du restaurant, j’ai entendu un coup bruit à la porte. Car je n’attendais pas quelqu’un, j’ai demandé qui il y avait. « Louis Blanc », la voix a répondu. « J’ai une proposition pour vous, si vous l’entendrez ». Désorienté, mais néanmoins curieux, j’ai ouvert la porte. Débout devant moi était un homme particulier. Sur l’extérieur, ses muscles, son fort menton, et ses cheveux noirs créent un beau jeune homme. Sa présence raffinée m’a raconté qu’il y avait bien plus au homme dans mon bureau. A cause de ma curiosité, je l’ai accueilli dedans le bureau pour lui entendre.
            « Vous ne pouvez pas me rappeler, mais j’habite au même immeuble que vous et sa belle femme. Comme un coureur admis, je vraiment apprécie ta relation »
            «  Merci, Louis. Maintenant, vous parliez d’une proposition pour moi. Qu’est que c’est ? »
            Son visage a commencé de regarder très nerveux.  Je pouvais dire qu’il se sentait mal à l’aise de détailler cette proposition. La nature illégal de sa question ne m’a pas surpris, mais le sujet a rapporté des mémoires non désire pour moi.
            « Je travaille en ce moment comme entrepreneur de pompes funèbres. J’aime ce travail, mais mes finances ont souffert à cause de la jeunesse de la population de la France. »
            « D’accord, mais je ne vois pas pourquoi vous avez besoin de me parler… »
            « Désolée. J’aime mon mode de vie et je veux le garder, mais j’ai besoin du revenu supplémentaire. J’ai entendu que vous aviez l’habitude de vendre de la drogue. Je me demandais si vous pouviez m’aider »
            Je lui ai regardé fixement. Le sang a commencé de vider de son visage, et je pouvais voir l’appréhension dans ses grands yeux verts. Devant ses yeux j’ai perçu une perte et un abandon ressemblant des expériences de ma jeunesse. Mais, il faillait que je réponds à sa question, et je ne m’ai pas retenu.
            « Je m’en fiche qui vous a raconté ma histoire. Quand je suis allé en prison, j’ai décidé de joindre l’église de Mormon. Cette partie de ma vie avec les drogues n’existe plus. Au revoir monsieur. »
            « Je suis désolée de vous avoir embêté.  Mais, si vous ne dérangez pas, quel est le vieux ballon sur l’étagère là-bas ? »
            « S’il faut que vous saviez, c’est une mémoire chéri de mon père qui a mort quand j’avais 10 ans. »
            « C’est incroyable. Mon père a mort quand j’avais 14 ans, et je garde ses chaussettes comme une mémoire de lui. Je sais que c’est un peu bizarre, mais je pense que vous comprenez le besoin de lui souvenir. »
            « Je peux comprendre. Peut-être vous pouvez me joindre ici pour un tasse de café demain après-midi. Je pense que je connais quelqu’un qui peut vous aider. »
            « Merci, Hugo. A bientôt ! »



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