mercredi 18 septembre 2013

Mélanie Baudin (Lauren Esrig) J3 corrigé



Un Souvenir (corrigé)
La vielle voiture a roulé soigneusement sur le pavé qui atteint la petite ferme qui appartient à la famille Baudin pour des siècles. Le soleil a commencé à se coucher derrière les arbres familiers et a allumé des plantes et les anciennes maisons avec une brillance comme un feu. Pour un moment on pouvait voir le Palais des Pape dans la distance avant que le ciel plongeait dans l’obscurité de la nuit. L’été dernier à Avignon était preque identique aux autres étés passés avec ma famille là. Sauf que cette fois, j’avais un secret. 
Quand la voiture s’est finalement arrêtée à la maison, mes parents, mes grand-parents, mes petits soeurs et mes cousins m’ont couvert de baisers et de grosses câlins. Mais, ma sourire chaleureux et vif était forcé, et c’était seulement ma grand mère qui a senti la différence dans mon air. Après avoir fini un repas énorme et bruyant avec plain de nourriture, et beaucoup de rire, ma grand mère m’a invité à faire une promenade dans la silence des jardins qui entournent la maison. 
On peut dire avec de la sûreté que ma grand mère me connaît comme elle se connaît. C’est pourquoi elle a la pouvoir d’apercevoir même les plus petits changements dans mon comportement. Alors, pendant notre promenade sous la noirceur du nuit, elle m’a expliqué qu’elle a détecté une certaine tristesse dans mes yeux. Alors lentement je lui ai dit mon secret. J’avais une maladie términale, le cancer. Le doctuer m’avait dit que j’aurai deux ans de plus pour vivre. Ensemble nous avons pleuré, mais je lui ai dit que j’avais dû rester à Paris comme journaliste, que je dois continuer ma passion d’écrire.  


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