Louis Blanc (James Graham)
J2
Le son d'une alarme a percé l'air. Je
bondis du lit comme tous les matins avant celui lorsque ce bruit terrible
m'informe qu'il est temps de nager. Je suis rapidement levé et ai mis mon
maillot de bain et j'ai couru à travers les salles glaciales de mon immeuble à
la piscine couverte. Après avoir nagé pour une heure, je mets un pantalon et un
manteau et je suis sortie au jardin. A six heure, je suis rentré à l'intérieur
avec un panier de légumes et préparé un petit déjeuner.
Comme je l'ai regardé dans le miroir pour
se raser, j'ai remarqué que mes yeux étaient un peu rouge. Je pouvais entendre
mon père dire que j'avais besoin de plus de sommeil au lieu de faire la fête
toute la nuit. J'ai toujours dit que j'aimais simplement rencontrer de
nouvelles personnes. Ma mère serait tellement malheureuse si elle me voyait
maintenant, je me suis dit. De nombreuses années avaient passé depuis ma mère a
envoyée à l'asile. Elle a commenté toujours comment je ressemblais mon père qui
est mort quand j'avais quatorze ans. Elle a pensé à mes grands yeux ronds verts
brillants étaient comme les yeux d'un chat dans la nuit. Mon visage était pâle
comme la lune, mais angulaire comme le visage d'un athlète. Un jour, après
avoir travaillé dans le jardin, comme je l'ai si souvent fait, ma mère m'a dit
que avec mon corps athlétique de nez grec je ressemblais acteur d'Hollywood.
Mais, elle a dit que j'étais trop pâle pour être de la Californie. La seule
chose que ma mère détestait sur la façon dont je regardais était mon sourire.
Elle a dit que j'avais un sourire éclatant comme une ampoule et une voix aussi
profond que l'océan. Elle a dit que mon père était similaire et qu'il aurait
des ennuis avec les femmes. Ma mère allait mourir si elle savait combien je
ressemblais l'image de mon père sur mon bureau.
Il était maintenant près de huit heures
et je besoin pour être sûr de prendre rendez-vous pour couper mes cheveux. J'ai
aimé les garder court. Sinon, ma épais cheveux noirs ondulés porterait atteinte
à mon travail. Comme je suis sorti de l'immeuble dans mon costume noir, j'ai
commencé à siffler. Sur le chemin de la morgue, j'ai vu mon ami, Luc, qui est
dans mon club de lecture. Nous avons parlé de bénévolat au refuge pour sans
abri semaine prochaine.
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