mercredi 11 septembre 2013

Mélanie Baudin (Lauren Esrig) J3




La vielle voiture a conduisé soigneusement sur la roue pavée qui atteint la petite ferme qui

appartient au famille Baudin pour des siècles. Le soleil a commencé à coucher derière les arbres

familiers et a allumé des plantes et les anciennes maisons avec une brillance comme un feu. Pour un

moment on pouvait voir le Palais de Pape dans la distance avant que le ciel plongeait dans l’obscuité du

nuit.  L’été dernier à Avigon était preque identique aux autres étés passés avec ma famille là. Sauf que

cette fois, j’avais une secrète.

      Quand le voiture a finalement arrêté à la maison, mes parents, mes grandparents, mes petits soeurs

et mes cousins m’ont couvert de baisers et d’embraces. Mais, ma sourire chaleureux et vif était forcé, et

c’était seulement ma grand mère qui a senti la différence dans mon air. Après avoir finir un repas

énorme et bruyant avec trop de nourriture et beaucoup de rire, ma grand mère m’a invité à faire une

promenade.

      Ma grand mère me connaît comme elle se connaît. Pendant que nous avons promenons dans les

champs agricoles qui entourent la maison, elle m’a expliqué qu’elle a aperçu une certaine tristesse dans

mes yeux. Alors lentement je lui ai dit ma secrète. J’avais une maladie términale, et que le doctuer m’a

expliqué que j’aurai deux ans de plus pour vivre. Ensemble nous avons pleuré, mais j’ai dit à ma grand

mère que j’avais dû rester à Paris comme journaliste, que je dois continuer ma passion d’écrire.

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