Normalement, j’adore
faire la grasse mâtinée, mais la nuit dernière je ne pouvais pas dormir donc je
me suis réveillé tôt ce matin. J’étais
rongé par des pensées de la mort de mes parents. Je me regard dans le
miroir. Mes yeux sont rouges et tombants. Je n’ai pas d’effort de porter une
tenue impressionnante aujourd’hui. Il fait très froid et nuageux, donc je mets
un grand pull en cachemire gris avec de pantalon en cuire noir. Pour des
accessoires, j’ai met des petites bottes noires en daim avec des talons de
Louis Vuitton, une montre de Chanel, des grandes boucles d’oreilles de cercle
en gris métallisé, et un noir sac en cuir de Céline. Finalement, j’enveloppe
mon long cou maigre avec une écharpe et balaye mes cheveux blonds dans un
chignon. J’ai fait mon maquillage et je suis prêt pour la journée misérable et
froide. Je pense à revenir dans mon lit et quitte mon travail pour le jour…
mais non, je ne peux pas. J’ai besoin du café bientôt !
Je
sors de mon immeuble douillet et chaud et dans la rue froide et gris de Paris.
Je marche rapidement dans un petit café autour de coin. Le café est plein de
couleur et de chaleur. Je suis très soulagée qu’il n’ait pas une ligne des
personnes au guichet. « Un café au lait avec lait écrémé » je dis
rapidement parce que je bois la même chose tous les jours. « D ‘accord,
3 euros » une voix dit. Je lève mes yeux et je vois un joli visage pâle et
pointu ornée avec des taches de rousseur. Ses épaules son pâle et pointu et
couvert par des taches de rousseur comme son visage. Des petites mèches de ses
cheveux roux chauds sont tombées d’un chignon sur ses épaules. Elle a l'air
fragile comme une fée. Je regard dans ses yeux et je me sens une doleur
nostalgique dans mon cœur. Elle semble d’être indépendante et forte mais elle a
une profonde doleur dans ses yeux.
Cela
me rappelle d’une fois dans ma vie. Je suis amoureux avec Jean-Michelle et
maintenant il est mon copain. Main quand je suis 19 ans, il fut un temps quand
je pensait que je ne n’aurais jamais le revoir. Il m’a quitté pour ses études
dans une université et je suis resté à Paris pour travailler à Vogue. La
distance a tout changé pour lui et il m’a dit qu’il ne reviendrait jamais pour
moi. Pour une année j’étais vide comme le vide dans ses yeux. Tristesse me
rempli et j’ai veux l’aider et entre en contact avec elle. Soudainement, je me rends
compte qu’elle est très familière. Avant que je puisée dire quelque chose elle
dit « Je vous connais ? ». Je ris et dit « J’allais vous
poser la même question ». Ensuite, je me souviens, elle vit dans le même
immeuble que moi. Je le lui dis et elle dit qu’elle s’appelle Séraphine Delanoue
et elle m’invite pour dîner chez elle ce soir. J’accepte son invitation parce
qu’elle m’intéresse.
Après
mon travail j’arrive chez elle. Elle ouvert la porte et m'a salué avec ses
cheveux rouge feu et un sourire pointu. Quand elle tourné, je remarque une
tatouage. C’est un beau loup de gris et bleu encercle dans magenta et prune. Elle
me voit le regardant. « Mon tatouage reflète ma personnalité : forte
et indépendante mais aussi fidèle. » J’assis à une table très simple. Je
regarde autour de la pièce. La pièce est simple aussi. Il y a peu des meubles
et décorations et les murs sont blancs. Mais la pièce est pleine de tableaux et
d’outils. « Je suis une artiste. Je fais des tableaux avec de feu. »
Son art est magnifique et contrairement à tout ce que j'ai jamais vu avant. Peut-être
je vais en acheter un pour mon appartement. Après le dîner je retourne chez
moi. J’embrasse Jean-Michelle bonne nuit et je pense de Séraphine. Elle est une
femme très étrange mais quelque chose d’elle m’intéresse. Elle est comme un feu
mystérieuse.
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