mardi 24 septembre 2013

R1 Mélanie Baudin (Lauren Esrig) parle de Morelle Duchamp


Lauren Louise Esrig 
le 22 Séptembre 2013
FR300 2pm
Professeur Nathalie Burle 

Rédaction 1: Un portrait d’un personage 

Retournant chez moi ce matin après un long nuit de travail au Parisien, je me suis arrêtee juste devant la porte d’entrer pour un moment, afin d’apprécier la beauté du lever de soleil. C’est là où j’ai finalement rencontré la jeune femme qui s’appelle Morelle Duchamp, une de mes voisines les plus intriguantes. 
Avec une délicatesse et une grâce qu’on pourrait seulment associer avec une belle fleur, elle est sortie de l’immeuble entraîn de pratiquer une certaine danse inconnu au reste du monde. Ses vêtements légers ont souligné sa figure élancée, et le soleil a illuminé sa visage ovale et chaleureuse. Ses pouces avaient un teint verdâtre que j’ai attribué aux longues heures qu’elles passent dans le petit jardin où elle travaille. La manque de chaussures m’a supris, mais cela contribue beaucoup à son personification d’une fée. 
En faite, même si j’ai jamais parlé avec cette Morelle Duchamp, je l’a connais mieux qu’elle savait. En premier, la boutique de fleuriste où elle passe la plupart de ses jours se situe très près de mon bureau au Journal de Parisien. La boutique est vraiment une continuation du jardin qui est au fond du magasin, avec des murs peint verts sauges qui s’écaille, une air d’avoir cent ans, et les plantes qui sont partout. C’est là où je vois ma voisine Morelle fréquemment tout sale mais complètement comfortable dans son jardin. Quelques fois, quand je suis en avance pour mon travail, j’arrête pour la surveiller un peu. Elle est vraiement une personnage étrange. Je remarque chaque fois qu’elle lise un nouveau livre aux plantes, et elle chante à eux aussi. Elle est la mère, et les plantes, les petites bébés. Je sais que c’est sa gentillesse et sa paitience qui aide à pousser ses plantes et ses fleurs. Je suis un peu jalouse de sa calme et sa sagesse, qui me rappelle à ma grand-mère, mais dans le corps d’un jeune femme de vingt-trois ans qui semble si fragile. 
Deuxièmement, je connais quelques secrets de Morelle. Sa famille vient du même ville où je suis née, la ville d’Avignon en Provence, et en plus, nous sommes la même âge. Quand j’étais petit, je passais devant sa maison quand je faisais les courses au marché pour ma mère et ma grand-mère. Je n’oublierai jamais le matin quand sa maison a brulé, et a tué ses parents. L’image du feu qui envelope toutes leurs souvenirs, leurs photos, leurs vies va toujours être marquer dans ma mémoire. Pourtant, après cette jour extêmement triste, je n’ai pas vue Morelle jusqu’à mon arrivé à Paris. C’est peut-être le fait qu’elle a aussi un secret, ou peut-être c’est qu’elle a souvent une expression qui me fait pensé à une amie loyale, mais je suis sûr qu’elle pourra sauvgarder mon secret si je le lui dirai. 
Alors, arrêtant devant la porte de notre immeuble pour remarqué le spleudeur le l’aube, j’ai rassemblé tout mon courage et a dit “bonjour” à cette femme fluette mais vive comme une colombe qui vole. 

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