Un Lieu Personnel
Au
fond du petit bistro italien populaire, on trouve une porte rouge avec un signe
qui lit « Avec chaque fibre de mon être », une phrase populaire de
Mormonisme. La porte, qui regarde une salle de bains ou quelque chose de ce
sort, sert comme un sanctuaire pour la propriétaire du bistro. L’homme derrière
la porte marchent constamment de faire rentable le bistro, une prouesse
difficile étant donné l’économie qui a du mal. Le stress du travail et le climat
économique a laissé le bureau d’Hugo, et le sol d’ailleurs, sans un pouce
d’espace libre. Des dossiers et des notes, parmi autres papiers, sont éparpillé
à travers le bureau, puisque la tâche de le ranger reste simplement intimidante.
Sur les murs accroche les peintures de la femme d’Hugo, avec les belles scènes
des parcs et jardins qu’elle aime visiter autour de Paris. L’ordre et
l’apparence ordonnée des gazons, des haies, des fleurs dans les œuvres font un
contraste comique entre le bureau et ses peintures. Chaque après midi, il
s’assied dans un vieux fauteuil au coin de son bureau. Le fauteuil, avec du
tissu déchiré et de la couleur délavé, semble plus inconfortable qu’il est
vraiment. L’hôtesse du bistro doit lui apporter un café pour apprécier avec
quelques passages de la bible Mormone. Cette activité habituelle d’Hugo sert
comme le déjeuner ainsi qu’un temps spirituel. Sans cette habitude, il se sent
physiquement fatiguée et affectivement épuisé.
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