Elena Valeriote
FREN 300
R1- Voisin
En
marchant dans le couloir, j’ai remarqué une femme, ses yeux étaient concentrés
sur le journal qu’elle tenait. Elle est venue vers moi, mais elle ne m’avait
pas encore vue. Rapidement, je me suis tournée vers le mur et fait semblant
d’étudier sa couleur grise poussiéreuse. Elle s’est arrêtée à une porte, elle a
mis sa clé dans la serrure, elle est entrée dans son appartement et juste comme
elle est apparue, elle a disparu. J’ai soupiré.
La
jeune femme s’appelle Mélanie Baudin. Elle a le même âge que moi, vingt-trois
ans. Elle est née à Avignon. Je sais ces choses parce qu’une fois, nous étions
amies. Je ne l’ai pas vue pour sept ans et soudainement, elle habit dans le
même appartement que moi, elle vit sur le même étage.
Mélanie
est exactement comme je me souviens d’elle. Elle porte encore des lunettes
violettes mais ces nouvelles sont un peu plus sophistiquées. J’ai toujours
pensé qu’elle a les yeux de biche trop belle pour porter des lunettes mais maintenant
je peux voir qu’elles conviennent avec son visage ovale. En outre, les yeux de
tout le monde sont immédiatement attirés à son sourire expressif et chaleureux.
Elle ne peut jamais cacher ses émotions mais elle a la chance d’être heureuse
souvent.
Nous
avons rencontré le premier jour de l’école. Aucun de nous ne voulait pas dormir
pendant la sieste de la classe. La professeure était exaspérée et elle nous a
demandé qu’est que nous aimerions faire. À la même moment, nous avons répondu
« lire. » Donc, elle a dit que nous pouvions nous asseoir juste à
l’extérieur de la porte et lire doucement. Je pense qu’elle a douté que Mélanie
et moi pourrions lire mais même à ce jeune âge, nous étions déjà ravis par les
livres. Nous avons grandi, mais nous avons continué de lire ensemble, quelque
fois dans le parc, autre fois chez elle ou chez moi. Elle a préféré seulement
les romans romantiques et mystérieux, mais je lisais tous.
Chaque
année, Mélanie a lu moins et elle a écrit plus dans un journal personnel. Elle
a parlé d’être une journaliste et elle voulait fréquenter la Sorbonne. Je ne
sauvais pas qu’est que j’aimerai faire, mais elle ne me dérangeait pas avec des
questions. J’aurais aimé de habiter à Avignon pour toute ma vie, mais elle
rêvait de vivre à Paris. Mélanie était une bonne amie, doux e poli, créative e
pensive. Elle est devenue d’une bonne famille aussi. Ses parents étaient
toujours généreux avec moi. Son père était docteur et il nous a intimidé un
peu, mais avec sa femme et ses trois filles, il était toujours tendre. Mélanie
m’a souvent invité pour dîner avec eux et j’étais confortable chez eux.
Une
fois, quand j’étais chez elle, Mélanie m’a raconté l’historie de son arriéré
grand mère, qui était travailleuse au Palais du Pape à Avignon. Elle a dit
fièrement qu’un jour elle hériterait son bel collier. Pour tout le monde à
Avignon, la famille était importante, mais pour Mélanie et moi, elle était
absolument essentielle.
Quand
mes parents étaient tués, elle essaye beaucoup de fois de m’appeler mais je ne
pouvais pas parler avec personne, même mon amie. Elle aurait fait tout pour
m’aider, s mais je n’avais pas aucune idée comment personne pouvoir m’aider. Je
suis partie pour Paris et je n’ai pas la donné mon nouveau information.
Je
ne crois pas au destin, mais elle dirait que c’était le destin que nous
habitons dans le même appartement. J’aimerais savoir qu’est qu’elle fait à
Paris, si elle fréquente la Sorbonne.
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