mercredi 18 septembre 2013

Marc Pieds-Guimauves (Pouyan Afkary) Corriger J3

Pouyan S. Afkary
Un souvenir de votre personnage
C’était mon treizième fois que je voyageait en Afrique, ma septième fois que je visitais l’aéroport, et ma troisième fois que je reportais l’histoire de ce conflit. J suis arrivé à l’aéroport à sept heures de soir et le soleil a juste commencé de se cacher derrière les montagnes. C’était une de la plus belle choses que j’ai vu aujourd’hui.
Ma belle grande traductrice avec la peau noire m’invitait à la forêt, et nous ne gaspillions pas une minute après de nous conduisions pour le centre de la forêt. Quand nous allons arrivé, nous avons rencontré les troupes gouvernementales qui restaient pour nous. Je savais qu’ils ne m’aident pas avec mon histoire de génocide que les troupes gouvernementales ont fait, et soudainement, ils m’ont attrapé, et m’ont lancé sur une orifice de la terre. Il y’a eu une odeur de gaspillage humain très riche et lourd. Je pouvais le sentir remplir ma poitrine et enrober ma gorge. Il était évident que ma traductrice a me trahit.            Je restais la pour juste deux semaines après que les bande rebelles envahissaient le terrain de camping, et depuis le massacre je commençais courir et je ne finissais pas jusqu’à j’ai regardé une maison, et puis une autre, et une autre, et finalement j’ai réalisé que je suis arrivé dans une village, une lieu de sécurité. J’ai me rencontré une jeune femme de six ans qui souriait pour moi, un homme qui sentais horrible, comme gaspillage. Sa famille m’a aide de se remettre. Je habitais avec la famille pour une mois jusqu’à je pouvais communiquer avec le gouvernement canadien et ils m’ont aidé s’échapper. Aujourd’hui j’ai le nœud de la petit femme, je l’utilise comme un lacet donc chaque matin, je me rappèles que les gens commence sont vies avec innocence.

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