Pouyan S. Afkary
Un
souvenir de votre personnage
C’était mon
treizième fois que je voyageait en Afrique, ma septième fois que je visitais l’aéroport,
et ma troisième fois que je reportais l’histoire de ce conflit. J suis arrivé à
l’aéroport à sept heures de soir et le soleil a juste commencé de se cacher
derrière les montagnes. C’était une de la plus belle choses que j’ai vu
aujourd’hui.
Ma belle grande
traductrice avec la peau noire m’invitait à la forêt, et nous ne gaspillions pas
une minute après de nous conduisions pour le centre de la forêt. Quand nous allons
arrivé, nous avons rencontré les troupes gouvernementales qui restaient pour
nous. Je savais qu’ils ne m’aident pas avec mon histoire de génocide que les
troupes gouvernementales ont fait, et soudainement, ils m’ont attrapé, et m’ont
lancé sur une orifice de la terre. Il y’a eu une odeur de gaspillage humain très
riche et lourd. Je pouvais le sentir remplir ma poitrine et enrober ma gorge.
Il était évident que ma traductrice a me trahit. Je restais la pour
juste deux semaines après que les bande rebelles envahissaient le terrain de
camping, et depuis le massacre je commençais courir et je ne finissais pas
jusqu’à j’ai regardé une maison, et puis une autre, et une autre, et finalement
j’ai réalisé que je suis arrivé dans une village, une lieu de sécurité. J’ai me
rencontré une jeune femme de six ans qui souriait pour moi, un homme qui sentais
horrible, comme gaspillage. Sa famille m’a aide de se remettre. Je habitais
avec la famille pour une mois jusqu’à je pouvais communiquer avec le
gouvernement canadien et ils m’ont aidé s’échapper. Aujourd’hui j’ai le nœud de
la petit femme, je l’utilise comme un lacet donc chaque matin, je me rappèles
que les gens commence sont vies avec innocence.
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