mardi 24 septembre 2013

Louis Blanc/ Hugo Belland (James Graham) R1

 James Graham
9/24/13
R1

            Mon voisin Hugo Belland est quelqu'un que je ne voudrais pas envisager un ami. En fait, je considère secrètement mon ennemi. J'ai rencontré Hugo le deuxième jour que j'étais à Paris après mon départ de Caen. La faim m'avait poussé à son bistro en quête de la nourriture. Il m'a donné plus de nourriture que je pouvais manger! J'étais tellement heureuse! Après j'avais eu ma suffisance et ne pouvait pas échapper à lui, il a commencé à me parler du ​mormonisme. Il se convertit à la religion et m'a parlé de son expérience. Il m'a demandé si je croyais en Dieu et si j'avais lu la Bible. Je lui ai répondu absolument pas. Je n'ai pas besoin de Dieu. Comme je partais, il a essayé de me dire quelque chose sur la façon dont Dieu l'a sauvé des drogues. Je n'ai jamais retourné à son bistro, mais maintenant j’habite dans le même bâtiment que cet homme. Je vois parfois Hugo et chaque fois que je suis sûr d'éviter le contact visuel avec lui.
            Hugo a une silhouette svelte en raison de son intolérance de gluten, ce qui est très bizarre. Je n'ai jamais entendu parler d'une telle chose auparavant. Son nez me rappelle d'une statue grecque et ses yeux fr amandes sont très simples. Il n'y a rien de spécial au sujet de M. Belland. Cependant, sa barbe est très unique. Il ne se rase deux fois par an pour aucune raison particulière. Je pense que d'avoir une barbe n'est pas très professionnel.
            Chaque fois que je vois Hugo parler à quelqu'un, il joue le rôle d’un saint. Il accueille les gens avec un grand sourire et essaie d'être très poli, mais je vois qu'il est vraiment très timide. Il n'est pas un homme fort. Il est très simple et n'a pas d'audace. Si j'étais à sa place j'aurais un bistro énorme pas son restaurant pathétique.
Une fois, quand j'étais coincé avec Hugo sur l'ascenseur, j'ai essayé d'être agréable et lui parler. D'une certaine manière la conversation a centrée sur nos enfances. Il m'a raconté une fois qu'il est allé au parc avec son père. Ils chevauchaient leurs vélos partout dans la ville. Le père de Hugo lui raconta l'histoire de chaque bâtiment qu'ils ont passé. Il m'a fait penser à du père de Hugo comme un vieux gitan qui racontait des histoires sur les origines de l'humanité. Hugo a dit que son père l'a emmené à un petit magasin qui vendait des ballons de football et de basket. Son excitation est devenue plus évidente, comme il a parlé de l'expérience d'avoir sa propre balle. A ce moment, j'ai commencé à devenir très ennuyé et a souhaité que l'ascenseur s'arrêtait à mon étage bientôt. Mais il a continué à parler de la façon dont les mathématiques sont sa matière favorite à l'école et sur ​​la façon dont il a perdu le ballon. Ensuite, l'ascenseur s'est arrêté à mon étage et j'ai couru à mon appartement.
Tous les jours quand je me promène à travailler, je marche devant le bistro de Hugo. À l'extérieur de son restaurant est un signe qui lit <<Avec chaque fibre de mon être>>. Je pense que la phrase est un proverbe populaire dans le mormonisme. Le bistro est très occupé. Les gens vont toujours à l'intérieur pour un repas. Quand je suis allé au bistro de Hugo pour la nourriture, je me souviens qu'il y avait des peintures des beaux parcs de Paris et de sa femme accrochées aux murs. Cependant, son bureau était très désordonné. Il y avait des notes et des dossiers éparpillés un peu partout. L'organisation est quelque chose que Hugo a besoin d'améliorer.
Globalement, Hugo est une personne très inhabituel. Nous ne sommes pas amis et je ne veux pas être son ami. Je suis audacieux et passionnant et il est ennuyeux et prévisible.

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