Un Portrait d’un Voisin
Un dimanche dans le milieu
de l'automne, je prenais une promenade à travers mon endroit préféré, le Jardin
du Luxembourg. Le soleil brillait, mais l'air froid envoyé des frissons dans le
dos. Mon chien Louis marchait avant en arrière sur le chemin reniflant les
fleurs flétries. L'air était vif et rapide, et une brise rafraîchissante brossé mes cheveux
en arrière hors de mes épaules. Le jardin était plus vide que d'habitude, sans
doute à cause du temps froid. Je ne me dérangeais pas, parce que je préfère
avoir tout le lieu pour moi.
Tout en marchant devant la
fontaine en face du palais, j'ai vu quelqu'un du coin de mon œil. Loin sur le
chemin, il était une figure penchée sur un buisson de fleurs. Le chiffre
lentement se redressa, et je tendis les yeux pour mieux voir. Elle avait un
état de grâce à sa présence dans le jardin, et se tenait avec un air d'élégance. Même de loin, je
pourrais dire qu'elle était impeccablement habillée, comme quelqu'un qui a
passé sa vie entourée de la mode. Je mène Louis vers elle pour voir de plus
près.
La femme semblait être
autour de cinquante ans, mais avait très gracieusement ans et paraissait encore
jeune. Sa silhouette était mince, mais tout en courbes et féminin ainsi. Son bien adapté
vêtements lui allait parfaitement, et est infroissable. Même de loin, je vois
que sa peau est lisse comme un riche chocolat au lait. La seule imperfection
que je peux remarquer, c'est une petite cicatrice sur sa joue gauche, qui
ressemble un peu à un croissant de lune. Ses cheveux gris sont parfaitement
peignés et brillant, ce qui reflète la lumière du soleil d'après-midi. Elle
sourit comme elle respire le parfum des fleurs, et les pauses dans un sourire.
Ses dents sont blanc nacré et parfaitement droite, entourée de lèvres rouges
luxuriants. Elle doit avoir remarqué me tenir là, car elle se tourne vers moi
et me regarde avec ses yeux perçants de noisette, et ses sourcils arqués
soulevée dans une expression de surprise.
J'ouvre la bouche pour
murmurer des excuses pour la regarder, mais je suis à court de mots. Il y a
quelque chose au sujet de ses caractéristiques les plus frappantes qui me
rappelle quelqu'un que je connaissais une fois. La femme de mystère continuait
à me regarder, mais j'ai été gelé en place comme si mes pieds étaient devenus collés
au sol. Louis commence à tirer sur la laisse, parce qu'il est devenu fatigué de
tourner en rond, en reniflant sa queue. J'ai craqué retour à mon sens tout d'un
coup et s'éloigna rapidement passé à la femme de retourner à la maison à mon
appartement.
Quand je suis rentré, j'ai
senti une traction vers un vieil album ma mère avait une fois mis ensemble, de
ses croquis et dessins portés par les modèles. Mon père avait aimé la
photographie comme un passe-temps, et souvent aidé ma mère en prenant des
photos de mannequins portant ses projets les plus avancés. Comme je feuilletais
les pages en lambeaux, je me suis senti un douloureux comme je le faisais
souvent quand je pensais à mes parents. Une des photos a attiré mon attention,
car il y avait une jeune, mince beauté qui me fixait. Ses yeux noisette et la
peau chocolatée, mais plus de vingt ans son cadet, ne pouvaient pas être
confondus avec.