lundi 30 septembre 2013

J5: Marc Pieds-Guimauve (Pouyan)

Pouyan S. Afkary
L’appartement
Bienvenue a ma chambre. Il est dans le sixième arrondissement en France. Il est un peu cher ici, mais aussi pas dangereux. Si vous voulez de visiter moi, continuer droit après vous entrez l’appartement, et prendre l’ascenseur jusqu’à  vous arrivez dans le quatrième étape. Le couloir que vous promener respirer la parfume des riches. Il est abondant et plus sucrée. Les murs du couloir sont tapageur mais âgée avec les rouge et or fleurs. De temps en temps je pense que les fleurs transpirent l’odeur qui sent comme une belle grand-mère séduisante. Suivez le blanc ornament jusqu’à vous observez chambre quatre cents treize à votre gauche. Finalement, vous arrivez à ma maison.

            Ma chambre n’est pas grande. Il est très simple, et je n’ai les meubles qui n’ont pas nécessaire. Après vous entrez, vous découvrez que chaque pièce de meuble a son endroit spécifique. À votre droite, au milieu de ma chambre, il y a un lit avec blanc draps. En face du lit, mon bureau reste. Le long de mon bureau il y a une lampe un crayon, un stylo, et un imprimer. Il n y a aucun de poussière dans toute le mon appartement. Si ma chambre avait une odeur, il dégagerait l’odeur du plastique nouveau. Si vous pourrez déguster m’appartement, vous savourerez un biscuit salé insipide. Touchez mes blancs murs. Ils sont mou, je ne peut pas permettre de les devenir à malpropre. Le clim dans mon appartement admettre le seul bruit, la faible soufflante qui ressemble le chuchoter d’un fantôme, une agréable histoire du soir.

J4 Corrigé: Marc Pieds-Guimauve (Pouyan)

Pouyan S. Afkary
Un Parc Abandonnée
            Mon endroit préféré est un parc public. Aujourd’hui, il n’est pas un parc public parce-que le public ne le visite pas. Il a été crée avec beaucoup de fleurs rouges, jaunes, bleus, et roses dans le centre-ville entre dix-sept gratte-ciels. Vraiment, il y a toute les couleurs qui ont prospéré ensemble dans le jardin. Il y a beaucoup d’autres plantes aussi. Il y avait un arbuste qui pouvait grandir élégamment et triomphalement, l’arbuste pouvait grandir jusqu’a ce qu’il a touché le ciel, mais il ne ce fait pas. Personne ne le bien tenu pas. Il a commencé a grandir jusqu’à ce que les gens ne pouvaient pas voir la forêt par les arbres.
            Il avait l’air de silence et calme, mais pas du tout. Maintenant, beaucoup de bruyante animaux y habitent. Toute les serpents, oiseaux, et un variété de bestioles chantent ensemble a créent une chorale pendant que leurs amis, les autres variété d'animaux et de bestioles, bavardent. J’aime faire le promenade ici. Dans le blanc bruit, je trouve ma tranquillité. Je peux penser. Une ou deux fois par semaine, chaque fois que les voix sur ma tête deviennent insupportable, je vais au parc public. C'est une place où les autres ont abandonné pour les lieux qui avait un sentier, mais pas moi. De temps en temps, quand les voix sont très forte, je peux y dormir pour trois ou quatre jours. Les jours juste m’échappé, c’est une vraiment expérience paisible.

            Il me représente bien, le parc public dans le centre-ville. Les gratte-ciels sont mon caractère extérieur, professionnel, et fort, et dans le cœur au centre-ville être le parc publique. Il représente mon caractère intérieur. Il est née plaisant pour servir le public, mais devenir à asphyxié en raison de l’essence du monde.

dimanche 29 septembre 2013

J5- Morelle Duchamp (Elena)


Elena Valeriote
FREN 300
J5- Quartier
            J’habite à Paris depuis sept ans maintenant, j’ai exploré toute la ville et je n’ai jamais trouvé un arrondissement plus parfait que le sixième. Le quartier latin offre tout ce qu’on peut souhaiter. Situé sur la rive gauche, on est toujours près de la Seine, la veine qui traverse le cœur de Paris. Mon appartement n’a ni une vue de la rivière ni le tour Eiffel, mais je pense que mon quartier est plus français pour cette raison. Surtout, je suis ravie d’être si près du Jardin du Luxembourg. Je me balade au jardin plusieurs fois par jour. Si je voudrais me perdre dans mes pensées, je sors de mon appartement, je tourne deux fois à gauche, je vais tout droit pour six minutes et j’arrive au jardin. Là, on peut observer des gens (les habitants et les touristes) qui rodent. Si j’ai faim, j’achète une gaufre ou une crêpe, je m’assieds à côté d’une fontaine et j’écoute le glouglou de l’eau, le va-et-vient des gens et les oiseaux picorent l’herbe. 
            On flâne pour des heures au quartier latin, entouré par l'énergie des jeunes qui s'y réunissent et l’histoire qui est installée comme la poussière sur la ville. Considéré comme le centre intellectuel de Paris, c’est ici que beaucoup d’universités sont repérées et où des philosophes, des écrivains, et des artistes de toutes sortes ont habités. Quand on se promène à Saint-Germain-des-Prés, on peut visiter le Café de Flore ou Les Deux Magots, où les figures littéraires rencontraient. Beaucoup de monde s’arrêtent ici pour rester un peu ; ils sentent du café et du pain, ils observent des gens en longeant du trottoir, ils écoutent la musique, mais sous les murmures des gens qui en sirotant le café, on peut entendre aussi les voix des fantômes.

jeudi 26 septembre 2013

J4 - Morelle Duchamp (Elena) Corrigé


Elena Valeriote
FREN 300
J4- Lieu
            La boutique de fleuriste où je travaille est le seul endroit dans le monde où je peux être complètement confortable sous un toit. Je pense que c’est parce qu’elle ne ressemble pas d’une vraie salle, c’est plus comme une continuation du jardin. L’immeuble est une vieille maison modique avec deux étages.  La plupart de sa propriété est composé du jardin derrière la maison avec une petite serre plein de plantes et une plus petite cabane plein d’outils.  La boutique est au rez-de-chaussée et le propriétaire, Pascal, habite au premier étage.  
Les murs ont été peints en vert sauge il y a de nombreuses années mais maintenant la peinture s’écaille donc le bois foncé s’est révélé en dessous et les taches jonchent le plancher. On ne sait pas quand l’immeuble est construit ou qui a habité ici avant que Pascal. Lui l’a découvert abandonné. Le lieu a encore le sentiment d’être oublié mais où il y avait la solitude il y a la vie maintenant. La lumière coule au travers de la fenêtre et un peu de mousse pousse dans les fissures des pavés qui constituent le plancher. La salle est débordée de plantes ; plantes sur les tables, plantes sur les étagères, même des plantes accrochés au plafond avec des chandeliers. Elle est toujours en beau désordre.
Je me lève tous les matins avec le soleil pour aller à la boutique. J’apporte toujours avec moi un livre pour lire pendant que je prends le bus. D’abord, je fais le café dans la petite cuisine et puis j’arrose les plantes. Pascal se joint à moi et quand nous avons fini avec des plantes, nous buvons du café et nous parlons jusqu’à l’ouverture de la boutique. 

J3 Corrigés: Jean-Luc Viril (Emily Dods)


CORRIGE ; Un Souvenir
            Quand j’avais huit ans, j’ai pense que j’ai vu mon père—non, je savais que je l’ai vu.  Je flânais au Sacre Cœur chaque samedi quand ma mère était au travail. J’adorais la Basilique blanche du Sacre Cœur. Il ait l’air d’une reine magnifique.  Ils saillent à Montmartre comme les défense d’un éléphant.
            Un samedi pluvieux, je m’assis au l’escalier quand je les ai vue.  Il a été la copie de moi.  J’ai été certaine que j’ai découvert mon père qui nous a abandonnée.  C'était comme si les nuages ​​s'ouvrent pour laisser briller le soleil
            Il avait un camera vidéo comme un télescope luisant.  Il a filmé deux enfants.  J’ai un frère et une sœur !  Un enthousiasme brillant m’éclate.  Je les ai suivi le jour tout entier semblable à un chiot.  Ils sont la famille parfaite et je les amourai.  J’ai rêvé d’un monde ou mon père me voit et nous construirons un vie avec moi, ma mère, et ma nouveau fratrie.   
            Au crépuscule, je suis partie un bref moment pour d’utiliser la salle de bain.  Quand je suis revenue, ils avaient disparu.  J’ai couru autour de Montmartre dans des tentatives désespérées pour trouver ma famille, mais il était trop tard.  Ils étaient partis.  J’ai laissé tomber l’école tous les jours de la semaine afin de rechercher de ma famille, mais ils ne revenaient jamais a moi. 

mercredi 25 septembre 2013

R1 Bijou Beauchamp et Gabrielle Floret (Emma Cohen)



Un Portrait d’un Voisin


            Un dimanche dans le milieu de l'automne, je prenais une promenade à travers mon endroit préféré, le Jardin du Luxembourg. Le soleil brillait, mais l'air froid envoyé des frissons dans le dos. Mon chien Louis marchait avant en arrière sur le chemin reniflant les fleurs flétries. L'air était vif et rapide, et une brise rafraîchissante brossé mes cheveux en arrière hors de mes épaules. Le jardin était plus vide que d'habitude, sans doute à cause du temps froid. Je ne me dérangeais pas, parce que je préfère avoir tout le lieu pour moi.
            Tout en marchant devant la fontaine en face du palais, j'ai vu quelqu'un du coin de mon œil. Loin sur le chemin, il était une figure penchée sur un buisson de fleurs. Le chiffre lentement se redressa, et je tendis les yeux pour mieux voir. Elle avait un état de grâce à sa présence dans le jardin, et se tenait avec un air d'élégance. Même de loin, je pourrais dire qu'elle était impeccablement habillée, comme quelqu'un qui a passé sa vie entourée de la mode. Je mène Louis vers elle pour voir de plus près.
            La femme semblait être autour de cinquante ans, mais avait très gracieusement ans et paraissait encore jeune. Sa silhouette était mince, mais tout en courbes et féminin ainsi. Son bien adapté vêtements lui allait parfaitement, et est infroissable. Même de loin, je vois que sa peau est lisse comme un riche chocolat au lait. La seule imperfection que je peux remarquer, c'est une petite cicatrice sur sa joue gauche, qui ressemble un peu à un croissant de lune. Ses cheveux gris sont parfaitement peignés et brillant, ce qui reflète la lumière du soleil d'après-midi. Elle sourit comme elle respire le parfum des fleurs, et les pauses dans un sourire. Ses dents sont blanc nacré et parfaitement droite, entourée de lèvres rouges luxuriants. Elle doit avoir remarqué me tenir là, car elle se tourne vers moi et me regarde avec ses yeux perçants de noisette, et ses sourcils arqués soulevée dans une expression de surprise.
            J'ouvre la bouche pour murmurer des excuses pour la regarder, mais je suis à court de mots. Il y a quelque chose au sujet de ses caractéristiques les plus frappantes qui me rappelle quelqu'un que je connaissais une fois. La femme de mystère continuait à me regarder, mais j'ai été gelé en place comme si mes pieds étaient devenus collés au sol. Louis commence à tirer sur la laisse, parce qu'il est devenu fatigué de tourner en rond, en reniflant sa queue. J'ai craqué retour à mon sens tout d'un coup et s'éloigna rapidement passé à la femme de retourner à la maison à mon appartement.

            Quand je suis rentré, j'ai senti une traction vers un vieil album ma mère avait une fois mis ensemble, de ses croquis et dessins portés par les modèles. Mon père avait aimé la photographie comme un passe-temps, et souvent aidé ma mère en prenant des photos de mannequins portant ses projets les plus avancés. Comme je feuilletais les pages en lambeaux, je me suis senti un douloureux comme je le faisais souvent quand je pensais à mes parents. Une des photos a attiré mon attention, car il y avait une jeune, mince beauté qui me fixait. Ses yeux noisette et la peau chocolatée, mais plus de vingt ans son cadet, ne pouvaient pas être confondus avec.

mardi 24 septembre 2013

Louis Blanc (Alessio) R1


Alessio De Falcis
Français  300
09/24/2013
R1 – Louis Blanc


 10 heures du soir aux Jardins du Trocadéro. Un jeune homme marche rapidement à un banc familier. Il s'assied et ferma ses yeux avec un regard d'anxiété sur son visage. La lune brille sous le reflet de la rivière proche, et il ouvre ses yeux pour prendre le reflet. Il apparaît maintenant aussi calme qu'une brise de minuit. Aucune sueur sur son sourcil, seulement un regard de sincérité et de contemplation. Subitement, il tire son téléphone de sa poche. Son visage devient brillant, lorsqu'il commence à sourire. Ses sourcils s'élèvent avec ses lèvres, son visage un peu caché par les cheveux. Il devient un nouvel homme, confiant et hardi, avec une énergie renouvelée, non plus longuement chargé par le monde autour de lui.

Il porte des pantalons verts olive qui complimentent ses cheveux noirs longs, ses yeux verts, et sa peau brun clair. Les pantalons qu'il porte sont tendus autour de ses jambes musculaires. N'importe qui passant remarquerait son corps athlétique, tel qu'un plongeur olympique. Il gagne plus de confiance pendant qu'il regarde ses jambes. Il se prend un Michael Phelps!

Les deux invités longuement attendus le joignent maintenant sur le banc. Il semble dériver son énergie de ces chers amis qui sont venus le visiter et partager des histoires du passé. Leurs chuchotements sont seulement entendus par les oiseaux dans les arbres et les grenouilles dans la rivière. Ils parlent pendant des heures. Enfin, les trois se lèvent et ils commencent à partir en haut du parc. Ils traversent le pont sur la rivière ensemble. Après avoir traversé le pont, les trois échangent des étreintes d'amitié et se disent au revoir.

Mais l'homme dans les pantalons verts olive ne se déplace pas. Il se repose à la fin du pont, seul. Il commence à perdre le cœur, ses yeux commencent à couler. Consommé par la pression du monde, il baisse sa tête dans ses mains. Il se rend compte qu'en réalité il doit apprendre un jour à devenir indépendant. Il doit apprendre à faire ses propres décisions et de traverser le pont seul.