mardi 12 novembre 2013

R3 Séraphine Delanoue (Jordan Bradley)


R3
            Ils l’appellent « un accident, » mais je sais que c’est douteuse que ça c’est vrai. Je ne suis pas négligent avec mon travail. La diligence est toujours cruciale à l’excellence et la pureté de mes œuvres.  Quand je travaille, un extincteur est toujours près de moi. Mes bougies, mes allumettes, mon petit chalumeau, je les utilise avec une précision extrême. Mon objectif en créant des œuvres avec quelque chose si dangereux, est de contrôler et manipuler le feu, d’avoir la puissance sur le plus destructif élément du monde.
Quand la police est arrivée, pas longue après les pompiers, il m’a demandé pourquoi je jouais avec le feu.
« Je n’ai pas joué avec le feu. Je travaillais.
-Et vous travaillez avec le feu, mademoiselle ? » dit l’officier.
« Oui, je suis artiste. Je crée mes œuvres par brûler la toile.
-Et vous pensez que ça c’est une méthode d’art approprié de faire dans votre appartement ?
-C’est mon studio. Je ne suis pas enfant. Je suis responsable avec mon matérielle. Ce n’était pas ma faute !
-Vous devez faire cette affirmation à la station, mais je suggère que vous trouvez un bon avocat, votre situation ne semble pas bien, » conseilla l’officier sévèrement.
Je me suis rendu compte que mon histoire ne semblerait pas légitime. J’étais retournée de la boulangerie après le déjeuner. Immédiatement quand j’ai ouvert la porte, j’ai su que quelqu’un avait été dans mon studio. L’appartement était en désordre, mais pas dans la même façon que c’était quand j’étais partie auparavant.  Et partout, je pouvais sentir l’odeur bizarre de muguet artificiel et autres chose que je ne pouvais pas identifier.
Me sentant un peu inquiétant, j’ai décidé de commencer un nouvel œuvre.  Dans mon côté de travail, se trouvait une novelle toile, préparé sur le chevalet. Incliné presque parallèle du sol, le chevalet semblait un peu comme une table. Tenant une bougie rouge avec des pinces métal, comme toujours, j’avais l’intention d’utiliser le chalumeau de faire fondre la bougie, renversant la cire rouge sur la toile. Mais le moment j’ai enflammé le chalumeur, la toile s’est embrassé.  Les flammes sautaient au sol et j’ai attrapé frénétiquement pour l’extincteur. Le sol prenait feu comme c’était couvert dans l’essence, je pouvais voir tout ce qui laissait de ma vie se consume. L’extincteur était désespéré, donc j’ai appelé « 18 » et j’ai couru pour la porte.
Maintenant, parlant avec la police, je me suis rendu compte que quelqu’un avait montre un coup contre moi. L’odeur inconnue… c’était de la térébenthine. Il devait être versé sur la toile et le sol. Et le muguet, c’était utilisé de couvert l’odeur de la térébenthine. J’aurais dû réaliser. Bien sûr, utilisant la matérielle artistique était très ingénieux, l’incendie semblerait comme un accident, tel c’était ma faute. Je dois reconstruire le crime avec les indices. Qui avait fait ça, et pourquoi ?

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