samedi 9 novembre 2013

R3- Morelle Duchamp (Elena)

Elena Valeriote
FREN 300
R3- Un Grand Incident Dans L’immeuble
            D’abord, j’ai écouté le grondement des pas lourds dans le couloir, une légère frappant proximité et le grincement de la ouverture d’une porte. Pour quelques minutes, on entend le murmure des voix sombres et les sanglots étoffés. Soudain, un martellement à ma porte m’a fait sursauter. Je me suis levée pour l’ouvrir.  
            C’était un policier. « Bonjour, Madame.
-       Bonjour, Monsieur. Est-ce que je peux vous aider ?
-       Oui. Un incident s’est passé chez Madame Dubois. Elle est très bouleversée et elle a demandé pour vous. »
Je me suis sentie ahuri mais je lui ai suivi subitement chez elle.
Madame Dubois s’est assis sur une chaise, en pleurant. J’ai vu immédiatement pourquoi – touts ses fleurs ont étés coupées au hasard, les pétales jonchaient le sol. La chambre a l’air d’un massacre.   
            Je me suis dirigé vers Madame Dubois pour consoler. Un autre policier était debout prés d’elle, tenait un carnet. Il semblait un peu exaspéré mais aussi compatissant.
            Il a dit « Madame. Je comprends que quelqu’un a trépassé dans votre appartement et il a coupés vos plantes. Y a-t-il quelqu’un qui a une clé de votre appartement ? 
            - Non… mais quelquefois j’oublie de verrouiller la porte. »
            Elle fondit en larmes.
            Le policier qui m’a emmené a tourné vers moi et il a demande «  Est-ce que quelque chose étrange s’est passé récemment dans l’immeuble? Savez-vous n’importe qui veut blesser Madame Dubois ? 
-       Je ne sais personne si méchant mais plus tôt cette semaine quelqu’un a volé un paquet de Madame.
-       Vraiment ? Cela est important. Je dois parler avec mon partenaire. Est-ce que vous pouvez consoler Madame Dubois ?
Je me suis approchée d’elle. J’ai dit « Je suis désolée, Madame. Je vous apporterai quelques nouvelles fleurs de la boutique où je travaille.
-       Mes fleurs étaient mes enfants ! 
-       Vous avez encore votre chat…
-       Non ! Il est disparu ! »
Elle a été submergée par l'émotion. Je m’ai demandé pourquoi quelqu’un fera ces choses horribles.
Brusquement, un des policiers a commandé « Soyez tranquille ! »
La chambre est devenue silencieuse. Un moment après, on a écouté un bruit ronronnant.
            Le policier a ouvert la porte avec précaution. Madame Dubois s’exclama tant que son chat est entré.  Elle s’est levée pour aller au chat, mais le policier la tenait avec une main grande sur l’épaule.
            « Qu’est-ce que c’est ça ? » Il a dit.

            Un plié de note a été attaché à son col.

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