mardi 5 novembre 2013

J9-Mélanie Baudin (Lauren Esrig)



       Quelque chose n’allait pas. En fait, ça devait être un matin normale en route au travail, mais ce matin il y avait un silence curieux, un silence trop pur, avec trop d’immobilité. Pour un long moment, je me suis resté au bout d’escalier, en essayant de deviner pourquoi le battement de mon coeur était si fort. Soudainement, ça m’était venu à l’esprit! Morelle DuChamp, qui part quotidiennement pour son jardin au même temps que je vais tout droit au Parisien, interrompe le calme de l’immeuble chaque matin avec son fredonnement un peu énervant, mais ce matin ci, sa musique a disparu! Je me suis demandé, où est Morelle? 
Tout à coup, à six heures du matin, un éclatement mettait fin au silence étrange et résonnait à travers l’immeuble. À cette heure tôt, c’était seulement le concierge et moi qui l’avait entendre, et rapidement nous avons sprinté vers cette immense disruption qui venait du première étage, l’étage où se réside Morelle. 
Quand nous avons finalement atteint son appartement, l’ouverture minime de son porte m’effrayait. J’avais trop de questions qui concernait le divertissement du matin, mais d’abord le concierge décide d’ouvrir sa porte. Le grincement frappant envoie un froideur partout dans mon corps. Son appartement était vide, sans signe d’un présence humaine, mais tout en désordre avec les meubles retournaient. Nous sommes entrés doucement, et pendant que je me suis inquiétée au salon, le concierge m’appelle. 
<<Mademoiselle Baudin, vous ne croirez pas ce que j’ai trouver dans sa chambre.>>
C’était la malette qui était donner au Marc Pieds-Guimauves la semaine dernière. 

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