jeudi 21 novembre 2013

J5 corrigé Séraphine Delanoue (Jordan Bradley)



Description du Quartier
            Après la mort de mes parents, j’ai déménagé à Paris pour habiter avec ma tante. Elle habitait dans le douzième arrondissement, dans un petit appartement près de la Seine. J’avais une salle à moi-même et le soir, avec mon lit à côté de la fenêtre, j’entendais la Seine. Le son était consolant, et bientôt j’en avais besoin pour m’endormir. Le fracas des vagues à Nice me manque beaucoup, mais j’ai appris à chérir la rivière et le reste du quartier aussi.
            Dans les premiers mois avec ma tante, j’ai détesté tout de la ville. J’ai trouvé le temps d’hiver maussade et oppressif et le paysage gris et désolé. Les rues étaient chaotiques et tout le monde était à la hâte. La circulation du Paris-Gare me suis énervée. Je me sentais piégée dans un torrent d’activité constante, quand mon monde a juste arrêté. Le mouvement de la ville et la contradictoire immobilité dans ma tête étaient troublants avant qu’un jour j’aie trouvé une photo dans l’appartement de ma tante. C’était de ma mère, regardant pensivement par la fenêtre la Seine.  Puis, quand j’ai réfléchi sur elle, je l’ai imaginée par la Seine.
            Depuis cet instant, j’ai trouve ma mère partout. Elle était dans les jardins, parmi les fleurs des Bois de Vincennes, elle était le patron au café, un lecteur par la rivière.  Je pouvais l’imaginer, balader la rue du faubourg St Antoine et esquissant l’architecture d’Haussmann. Avec le souvenir de ma mère, le douzième arrondissement était devenu vivant. Le printemps coloriait la ville avec une essence gaie. Ma mère et Paris m’ont causé d’aimer encore le mouvement de vie. 

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