Pouyan S. Afkary
Professeur Burle
11.5.13
Journal 8 : Le
Concierge
Le
hurlement du vent de la cheminée a occupé le salon des appartements au premier
étage ou le concierge vit la télévision. Le grincement des blancs bruits a résonnés
dans tous les couloirs. La lumière de la télévision était la seule lumière qui
a émis dans le salon. Elle a donné des ombres discordantes. Le concierge a
aperçu de ma présence.
« Où
est-ce que vous sortirez hier soir, mon confident ?
-
J'ai besoin d’une baguette pour mon petit déjeuner demain
matin. Pourquoi est-ce que tu es curieux ?
-
Pas vrai, j’ai pense qu’il est possible que tu ailles
sortir pour la fête avec les autres.
-
Les autres ?
-
Oui, oui, avec tes amis, les femmes qui se sont habillées
pour Halloween. Elles m’ont convaincu bien aussi. Leur tête coupée était très
convaincante. »
Le concierge a dit qu’il ne
peut pas rapporter leurs noms, mais une femme est jeune, peut-être entre vingt
et un, vingt-six ans, et l’autre femme a un visage vieux, peut-être soixante ou
septante ans. Vraiment, il n’y a pas beaucoup de personnes qui habitent ici. Je
ne sais pourquoi le concierge ne peut rapporter nos noms. Je connais les
femmes, et s’il y a eu une fête ce soir, elles ne m’ont pas invitées. J’ai dit au
revoir au concierge après que je sors du bâtiment.
« Au
revoir ! » Il a répondu.
La porte a claqué fort depuis
que je suis sorti. La neige a tourbillonnée en cercle. La baguette pourrait rester. J’avais des
nouveaux intérêts.
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