Pouyan Afkary
Professor Burle
FRE 300
11.9.13
R3:
Le
hurlement du vent de la cheminée a occupé le salon des appartements au premier
étage ou le concierge vit la télévision. Le grincement des blancs bruits a
résonnés dans tous les couloirs. La lumière de la télévision était la seule
lumière qui a émis dans le salon. Elle a donné des ombres discordantes. Le concierge
a aperçu de ma présence, mais ils ont eu deux voix qui n'ont aperçu pas que
j'étais là. Je m'ai glissé près de salon sur les ombres d'écouter.
« Oui,
mais si tu n'était pas irresponsable, tu peut le fait sans moi. Tu es
incompétente, ennuyeux et stupide.
- Désolé madame. »
Les
voix m'a arrête devant le salon, ou je devais passé pour retourner à ma
chambre. Il y était une conversation privée d'une femme et un homme, très
mystérieux.
«
Est-ce qu'il a survit?
-
Oui madame.
-
Pourquoi? »
Elle
arrête de parler pour un moment après elle a demandé encore...
«
Pourquoi!?
-
Parce qu'il ne... »
Le
claquement des pas interruptif a écho dans l'escalier.
«
Parce qu'il ne boire le café que j'achèterais pour il. »
Le
claquement arrête au fondement de l’escalier. Chausseurs lustrés, pantalons
bleus à plis, et un manteau noir couver a couvert le détective.
«
Monsieur, madame, bonjour. Est-ce que vous connaîtrez Monsieur Pieds-Guimauve?
-
Oui, mais pourquoi? »
La
femme demande.
«
Nous pensons qu'il soit possible que Monsieur Marc Pieds-Guimauve soit vraiment
dangereux. Nous trouvons un homme mort dans sa maison. Il y était poison dans
le café du pauvre homme.
-
Oh la la! Il n'est pas possible!
-
Zut! Vous êtes sûr qu'il ne soit pas Monsieur Pieds Guimauve, Détective?
-
Oui. Je suis désolé madame, mais il est Monsieur Jean-Luc qui est mort.»
J'ai
finit écouter la conversation et il y avait le temps pour moi d'évader la
situation.
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