jeudi 21 novembre 2013

R3 corrigé Séra Delanoue (Jordan Bradley)


R3
            Ils l’appellent « un accident, » mais je sais que c’est douteux que ça soit vrai. Je ne suis pas négligente avec mon travail. La diligence est toujours cruciale à l’excellence et la pureté de mes œuvres.  Quand je travaille, un extincteur est toujours près de moi. Mes bougies, mes allumettes, mon petit chalumeau, je les utilise avec une précision extrême. Mon objectif en créant des œuvres avec quelque chose qui est si dangereux, est de contrôler et manipuler le feu, d’avoir la puissance sur le plus destructif élément du monde.
Quand la police est arrivée après les pompiers, ils m’ont demandé pourquoi je jouais avec le feu.
« Je n’ai pas joué avec le feu. Je travaillais.
-Et vous travaillez avec le feu, mademoiselle ? » dit l’officier.
« Oui, je suis artiste. Je crée mes œuvres en brûlant la toile.
-Et vous pensez que ça c’est une méthode d’art approprié de pratique dans votre appartement ?
-C’est mon studio. Je ne suis pas enfant. Je suis responsable avec mon matériel. Ce n’était pas ma faute !
-Vous devez faire cette affirmation à la station, mais je suggère que vous trouviez un bon avocat, votre situation ne semble pas bien, » conseilla l’officier sévèrement.
Je me suis rendu compte que mon histoire ne semblerait pas légitime. J’étais retournée de la boulangerie après le déjeuner. Immédiatement quand j’ai ouvert la porte, j’ai su que quelqu’un avait été dans mon studio. L’appartement était en désordre, mais pas dans la même façon que c’était quand j’étais partie auparavant.  Et partout, je pouvais sentir l’odeur bizarre de muguet artificiel et les autres chose que je ne pouvais pas identifier.
Me sentant un peu inquiet, j’ai décidé de commencer une nouvelle œuvre.  Au coin où je travail, se trouvait une nouvelle toile, préparée sur le chevalet. Incliné presque parallèle au sol, le chevalet semblait un peu comme une table. Tenant une bougie rouge avec des pinces de métal, comme toujours, j’avais l’intention d’utiliser le chalumeau pour faire fondre la bougie, renversant la cire rouge sur la toile. Mais au moment que j’aie enflammé le chalumeau, la toile s’est embrassée.  Les flammes sautaient au sol et j’ai attrapé frénétiquement l’extincteur. Le sol prenait feu comme c’était couvert dans l’essence, je pouvais voir tout ce qui laissait de ma vie se consument. L’extincteur était désespéré, donc j’ai appelé le « 18 » et j’ai couru à la porte.
Maintenant, parlant avec la police, je me suis rendu compte que quelqu’un avait montré un coup contre moi. L’odeur inconnue… c’était de la térébenthine. Elle devait être versé sur la toile et le sol. Et le muguet, c’était utilisé de couvrir l’odeur de la térébenthine. J’aurais dû comprendre. Bien sûr, utilisant le matériel artistique était très ingénieux, l’incendie semblerait comme un accident, tel était ma faute. Je dois reconstruire le crime avec les indices. Qui avait fait ça, et pourquoi ?

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