mardi 12 novembre 2013

R3 Mélanie Baudin (Lauren Esrig)



L’obscurité de la nuit m’avait étouffé. Les feuilles attachées aux arbres au dehors de mes fenêtres avaient été des monstres qui m’ont menacées. Je bouge à gauche et à droite dans mon lit pour échapper l’étranglement de mes couvertures, essayant de m’endormir, mais mes efforts pour attraper un peu de sommeil étaient futiles. À trois heures du matin, mon bataille interne était abandonner, et j’ai décidé de faire une promenade autour du quartier pour me calmer. Le silence complet dans les couloirs et dans l’escalier en colimaçon m’a suivi jusqu’à-ce que le concierge a interrompu mes pensées nocturnes. 
  - <<Mademoiselle Baudin,>> dit le concierge avec un calme curieux, <<pourquoi flânez-vous autour de l’immeuble à cette heure?
  -C’est l’insomnie Monsieur, je voulais me balader un peu pour que je puisse avoir de l’énergie pour le travail demain. 
-Ah, je comprends. 
-Désolé de vous embêter, je sais que c’est bizarre d’être réveillé à trois heures du matin. C’est probablement une rareté de voir une de vos locataires si tôt!
-En fait non. Hier soir M. Marc Pieds-Guimauves avait un rendez-vous avec trois grandes hommes cachés dans des longs manteaux noirs au milieu de la nuit, près de notre porte cochère.>> 
Il m’a expliqué que ce groupe d’hommes mystérieux et inquiétants avaient donné une mallette lourde et en cuir noir à Monsieur Pieds-Guimauves. Quand je lui ai demandé s’il avaient pu discerner leurs visages, il m’a répondu qu’ils avaient porté des masques pour les couvrir. Il m’a confié aussi que Marc avait eu l’air terrifié quand il était retourné dans l’immeuble avec sa mallette noir. 
Le lendemain matin en préparant pour le travail comme d’habitude, quelque chose n’allait pas. En fait, ça devait être un matin normale, mais ce jour là un silence curieux, un silence trop pur, avec trop d’immobilité avançait lentement vers mon âme. Pour un long moment, je me suis resté au bout d’escalier, écoutant le battement de mon coeur si fort et si vite, et sentant la froidure de la transpiration de mes mains. Soudainement, ça m’était venu à l’esprit! Morelle DuChamp, qui part quotidiennement pour son jardin au même temps que je part pour le Parisien, interrompe le calme de l’immeuble chaque matin avec son fredonnement et sifflement, qui est toujours un peu énervant. Mais sa musique fragile ne résonnait pas dans les corridors vide! Je me suis demandé, où est Morelle? 
Tout à coup, à six heures du matin, un hurlement perçant mettait fin au silence étrange et sonnait à travers l’immeuble. À cette heure tôt, c’était seulement le concierge et moi qui l’avait entendre. Je lui ai exigé,
- <<Allez-appeler la police!>> 
Rapidement nous, les deux, avons sprinté vers cette immense disruption qui venait du première étage, l’étage où se réside Morelle. Finalement, l’agent de police, Jean Pierre, est arrivé à la scène, grand, rond, et tout orgueilleux avec son uniforme, son fusil, et une moustache manucurée.  
Quand nous avons finalement atteint son appartement, l’ouverture minime de son porte m’effrayait. J’avais trop de questions qui concernait le divertissement du matin, mais d’abord l’agent décide d’ouvrir la porte. Le grincement frappant de la porte blanche envoie un froideur glacial partout dans mon corps. Son appartement était vide, sans signe d’un présence humaine, mais tout en désordre avec les meubles retournaient. Nous sommes entrés doucement, et pendant que je me suis inquiétée au salon avec Jean Pierre qui ne fait rien productif, le concierge m’appelle. 
<<Mademoiselle Baudin, vous ne croirez pas ce que j’ai trouver dans sa chambre.>>
C’était la mallette qui était donner au Marc Pieds-Guimauves la semaine dernière, et attachée à la couverture noir en cuir, était une note, un preuve dans la disparition de Morelle Duchamp.

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