jeudi 21 novembre 2013

Corriges R3: Jean-Luc Viril (Emily Dods)

Emily Dods
Fren300
M-Je ; 2-3 :30
Nathalie Burle
R3
CORRIGES Un Grand Incident Dans L’immeuble
            Dans mon lit, des sons de la roue dérivèrent aux oreilles.  La porte d’immeuble claqua et je sais que Marc Pied-Guimauve quitta l’immeuble.  Le bruit qu’il émit résonnement dans la tête.  Un bruit transperça le silence simple de la rue.  Ce bruit était le même que celui m’entends à l’escalier.  Pied-Guimauve !?  Je pensais.  Je sautai du lit et me hâtai à la fenêtre pour l’examen complet.  Vers le bas, dans la rue, Marc Pied-Guimauve gisait sur le trottoir.  Deux hommes se levèrent au dessus-de Pied-Guimauve. 
            C'était une nuit pluvieuse et les deux hommes étaient à peine visibles dans leurs manteaux sombres.  Un homme était petit et dodu, tandis que l'autre était grand et maigre.  Les deux voix des hommes rebondirent aux rues vides.  L’homme grand demanda l’homme court :
            « C’est notre homme ?
            -Bien sûr!
            -C’etait juste si facile ! 
            - Je l'ai poursuivi pendant huit ans ! Je sais que nous découvrons notre homme ! » L’homme petit et dodu cracha.
            Je surpris que j’entendu leur mots si facilement.  J’observai la rue vide qui encercla ces hommes.  Les rues étaient vides, sauf les trois hommes.  Très peu de lumière illumina la rue.  Soudainement, j’ai réalisé que ma fenêtre à été la seule source de lumière.   Je m’aux déplacé pour éteindre la lumière.  Ce fut une erreur.  Mon mouvement a attiré l’attention à l’homme court.  Sa tête se releva brusquement à ma fenêtre et je savais que j'étais en difficulté.  J’ai feint l’ignorance et éteint la lumière et ensuite retourné au lit.
            Dans mon lit se demandant ce qui allait se passer.  La porte de l'immeuble a claqué.  Pieds grimpé l'escalier.  Un poing frappa la porte :
« Ouvrez! C'est la police! »


Masako Delaroche (Huichao Han) J9 Corrigé


Huichao Han
FREN 300 J9 Corrigé: Un petit incident dans l’immeuble
11/18/2013
Dimanche dernier, notre concierge qui avait toujours un pied en l’air a proposé d’organiser une fête des voisins dans la cour pavée, où chacun préparant un plat de spécialité avait une occasion de faire la connaissance avec les nouveaux voisins. C’était la première fois que j’ai constaté tous les locataires se réunir dans cet appartement; à cause de notre métier très varié, nos vies ne se croisaient pas beaucoup. En plus de ceux que j’avais salués une fois dans le corridor, j’ai distingué deux vieilles dames échanger avec le concierge des nouvelles de source bien douteuse, le patron du bistro que j’avais fréquenté le mois précédent bavarder d’une manière détendue avec un homme grand et musclé possédant l’air d’un élite, et un homme muet qui s’entretenait avec les autres à l’aide d’un carnet et d’un stylo. Je n’ai ni mangé ni parlé beaucoup, parce qu’après une brève conversation avec mes voisins, attirée immédiatement par les chats de Madame Dubois, j’ai passé tout l’après-midi à les poursuivre et les taquiner.
Quand le concierge m’a réveillée avec ses frappements à la porte inquiétants en pleine nuit, il m’a apporté la nouvelle terrible que la moitié de locataires qui avaient participé à la fête commençaient à montrer des symptômes de vertige, nauseé, ou dyspnée. Sans beaucoup réfléchir, prenant un manteau sur les épaules et suivant le concierge de près, je suis descendue en trottant dans la cour, y retrouvant le reste des locataires tous en tenue négligée se rassembler silencieusement dans une ambiance subtile et tendue. Certains avaient du mal à comprendre la situation, d’autres prenaient un air sérieux ou agité, mais personne ne voulait prendre la parole.
« Tout le monde est là? Bien…Désolé de vous déranger à ce moment-là, mais je veux juste m’assurer que chacun ici se sent bien. Les malades ont été déjà transférés dans un hôpital à proximité, donc ne vous inquiétez pas. » le concierge a interrompu ce silence embarrassant.
« On peut rentrer maintenant, Monsieur le concierge? J’aurai un rendez-vous de bon matin demain…
- Ah oui, bien sûr. C’est dommage que ce genre d’intoxication alimentaire se passe dans notre appartement… » murmurait-il.
« Vous êtes sûr que c’est seulement un hasard? Pourquoi j’ai l’intuition d’un accident prémédité?» le propriétaire du bistro a lancé inopinément une interrogation en fixant le regard sur l’homme avec qui il avait causé pendant la journée. Sa question a chassé mon sommeil, me rappelant des secrets inavouables et des relations compliquées dans cet immeuble.

Masako Delaroche (Huichao Han) R3 Corrigé


Huichao Han
FREN 300 R3 Corrigé: Un grand incident dans l’immeuble
11/20/2013
L’incident d’intoxication alimentaire s’était passé il y a une semaine. Il semblait que chacun dans l’appartement menait leur propre vie avec ordre, comme si le hasard n’avait rien dérangé. Bien que des commissaires de police se fussent enquéris auprès des victimes sur ce qu’ils avaient mangé pendant la journée, personne ne pouvait offrir un fil utile. Le reste de nourriture, la seule preuve matérielle, était déjà déversé aux poubelles par le concierge juste après la fête, laissant cette affaire en suspens. Pourtant, en me rappelant du silence et de la perplexité embarrassante de cette nuit-là où les locataires s’étaient réunis en désordre dans la cour, je savais, au fond du cɶur, que de nombreux secrets inavouables se cachaient sous le camouflage de la tranquilité de la vie quotidienne.
L’interrogation allusive d’Hugo, le propriétaire d’un bistro qui habitait en face de chez moi, m’a beaucoup intéressée. Il paraissait que Hugo possédait une certaine confidence de la famille mystérieuse de Monsieur Blanc, un homme sociable avec un teint pâle et une manière bien élevée. Selon les rumeurs du concierge, sa vie était bouleversée par un incendie sans précédent, dans lequel son père a été tué, et sa mère envoyée à l’asile à cause du choc insupportable, lui laissant une grande fortune et une entreprise de pompes funèbres comme héritage familial.
Pour moi, un autre événement a aggravé le soupҫon de cet homme malheureux. Depuis la première visite à la librairie que j’avais héritée de ma grand-tante Joséphine, je la fréquentais souvent pendant les week-ends, assise entre des montagnes de livres passant toute la journée à lire ou à sommeiller. Ce jour-là, au coucher du soleil, accompagné du grincement de la porte lourde et du vent gelé envahi du dehors, le dernier client était entré dans la librairie, regardant tout autour avec un air de chercher quelque chose. Quand il a commencé à parler, j’ai distingué la voix enrouée de Monsieur Blanc.
« Bonjour Monsieur! Est-ce que je peux vous aider?
-...Eh bien, oui. Je suis en train de chercher des livres sur la fonction des poisons...» murmura-t-il en faisant attention vigilamment aux alentours.
« Des livres de pharmacie sont tous sur le premier rang de la deuxième étagère à la droite.» l’employé lui indiqua la direction.
J’étais prête à le saluer, mais ses pas se sont arrêtés deux mètres loin de moi. Evidemment, il a trouvé ce qu’il voulait. Dans une demi-heure, je ne discernais aucun bruit que le froissement des papiers. Inopinément, au lieu de l’emporter à la caissière, il l’a mis de nouveau sur l’étagère, comme si personne ne l’avais jamais lu. Etant sûre qu’il était déjà parti, j’ai marché furtivement à l’étagère où il avait recelé le livre, reconnaissant tout de suite celui avec le titre « L'Emploi Incroyable des Poisons». Sans le moindre effort, j’ai retrouvé la page dont il avait plié un coin comme marque. C’était un chapitre sur l’usage de l’arsenic.

R3 corrigé Séra Delanoue (Jordan Bradley)


R3
            Ils l’appellent « un accident, » mais je sais que c’est douteux que ça soit vrai. Je ne suis pas négligente avec mon travail. La diligence est toujours cruciale à l’excellence et la pureté de mes œuvres.  Quand je travaille, un extincteur est toujours près de moi. Mes bougies, mes allumettes, mon petit chalumeau, je les utilise avec une précision extrême. Mon objectif en créant des œuvres avec quelque chose qui est si dangereux, est de contrôler et manipuler le feu, d’avoir la puissance sur le plus destructif élément du monde.
Quand la police est arrivée après les pompiers, ils m’ont demandé pourquoi je jouais avec le feu.
« Je n’ai pas joué avec le feu. Je travaillais.
-Et vous travaillez avec le feu, mademoiselle ? » dit l’officier.
« Oui, je suis artiste. Je crée mes œuvres en brûlant la toile.
-Et vous pensez que ça c’est une méthode d’art approprié de pratique dans votre appartement ?
-C’est mon studio. Je ne suis pas enfant. Je suis responsable avec mon matériel. Ce n’était pas ma faute !
-Vous devez faire cette affirmation à la station, mais je suggère que vous trouviez un bon avocat, votre situation ne semble pas bien, » conseilla l’officier sévèrement.
Je me suis rendu compte que mon histoire ne semblerait pas légitime. J’étais retournée de la boulangerie après le déjeuner. Immédiatement quand j’ai ouvert la porte, j’ai su que quelqu’un avait été dans mon studio. L’appartement était en désordre, mais pas dans la même façon que c’était quand j’étais partie auparavant.  Et partout, je pouvais sentir l’odeur bizarre de muguet artificiel et les autres chose que je ne pouvais pas identifier.
Me sentant un peu inquiet, j’ai décidé de commencer une nouvelle œuvre.  Au coin où je travail, se trouvait une nouvelle toile, préparée sur le chevalet. Incliné presque parallèle au sol, le chevalet semblait un peu comme une table. Tenant une bougie rouge avec des pinces de métal, comme toujours, j’avais l’intention d’utiliser le chalumeau pour faire fondre la bougie, renversant la cire rouge sur la toile. Mais au moment que j’aie enflammé le chalumeau, la toile s’est embrassée.  Les flammes sautaient au sol et j’ai attrapé frénétiquement l’extincteur. Le sol prenait feu comme c’était couvert dans l’essence, je pouvais voir tout ce qui laissait de ma vie se consument. L’extincteur était désespéré, donc j’ai appelé le « 18 » et j’ai couru à la porte.
Maintenant, parlant avec la police, je me suis rendu compte que quelqu’un avait montré un coup contre moi. L’odeur inconnue… c’était de la térébenthine. Elle devait être versé sur la toile et le sol. Et le muguet, c’était utilisé de couvrir l’odeur de la térébenthine. J’aurais dû comprendre. Bien sûr, utilisant le matériel artistique était très ingénieux, l’incendie semblerait comme un accident, tel était ma faute. Je dois reconstruire le crime avec les indices. Qui avait fait ça, et pourquoi ?

J9 corrigé Séra Delanoue (Jordan Bradley)


J9
            Quelques jours après ma conversation avec le concierge, j’ai été témoin d’une dispute entre l’homme de l’appartement 205 est une très belle femme que je n’ai jamais encore vue. À cause de leur dispute, j’ai découvert que l’homme s’appelle François, et sa copine Marie. Il semble que tous ce que le concierge m ‘avait dit être vrai.
            En partant mon appartement j’ai entendu les cris du bas. J’étais trop curieuse de les ignorer donc, j’ai descendu l’escalier en colimaçon, suivant les voix. La porte de l’appartement 205 était entrouverte. À l’extérieur je pouvais entendre tous :
«  - Tu m’as dit que tu t’es débarrassé de –
-       Chut! Pas si fort ! Quelqu’un pourrait t’entendre.
-       Je m’en fiche si quelqu’un entend. Tu m’avais promis !
-       J’ai besoin d’argent, Marie. Et j’ai beaucoup de clients qui comptent sur moi.
-       Tu avais changé François. Tu n’es pas l’homme que tu étais quand je te suis rencontré. Ce mode de vie nous abîme ! »
À ce moment là, j’ai entendu un verre fracasse et le bruit de pas rapide.  Je me suis dégagée dans une alcôve juste quand la porte c’était ouverte. Portant un sac marin, Marie est partie l’appartement, marchant brusquement vers le hall.  
« Ne part pas, Marie ! » a hurlé François de la porte.
Mais il a su que ses efforts étaient vains. Il a claqué la porte. Après j’ai été sure que je ne pourrais pas être vue, je me suis retirée à mon appartement à penser à tous ce que j’ai appris. 

j8 corrigé Séra Delanoue (Jordan Bradley)


J8
« Salut, » J’ai dit en haletant au concierge, ouvrant la porte cochère  lourd avec une plainte. « Il fait très mauvais aujourd’hui. Je suis gelée jusqu’aux os !
-       Oui, Mademoiselle Delanoue, aujourd’hui avait l’air d’être un peu perturbant.
-       Est-ce que  ce temps vous dérange beaucoup, Monsieur ?
-       Non, non… c’est simplement que j’avais juste entendu par hasard quelque chose de considérable !
-       Que voulez-vous dire ?
-       Je pense que je suis un témoin d’un crime ! Il semble que le jeune homme de l’appartement 205 cache une grande planque de quelque chose très bizarre… »
Le concierge a continué son histoire des secrets 40 Rue Saint-André des Art. Il m’a révélé tous les détails d’une conversation du téléphone du colocataire du 205. Il m’a dit que l’homme avait parlé d’une « planque » faible de 20 000 euros. Le concierge m’a expliqué que l’homme avait chuchoté quelque chose d’inaudible au téléphone… et puis il avait divulgué que la planque était cachée dans son réfrigérateur. Hâte de me dire plus du scandale, la commère a décrit l’intensité de l’homme. D’après le concierge, cet homme avait parlé avec un air très irrité et agressif, sur le point d’hostilité.  « Faites attention à vos voisins, mademoiselle, » étaient ses mots d’adieu.
Je ai monté l’escalier en colimaçon un peu bouleversée par l’idée d’un crime de cette magnitude qui se passe simplement quelques étages en dessous de moi. Je me suis demandée ce que l’homme pouvait cacher…

J5 corrigé Séraphine Delanoue (Jordan Bradley)



Description du Quartier
            Après la mort de mes parents, j’ai déménagé à Paris pour habiter avec ma tante. Elle habitait dans le douzième arrondissement, dans un petit appartement près de la Seine. J’avais une salle à moi-même et le soir, avec mon lit à côté de la fenêtre, j’entendais la Seine. Le son était consolant, et bientôt j’en avais besoin pour m’endormir. Le fracas des vagues à Nice me manque beaucoup, mais j’ai appris à chérir la rivière et le reste du quartier aussi.
            Dans les premiers mois avec ma tante, j’ai détesté tout de la ville. J’ai trouvé le temps d’hiver maussade et oppressif et le paysage gris et désolé. Les rues étaient chaotiques et tout le monde était à la hâte. La circulation du Paris-Gare me suis énervée. Je me sentais piégée dans un torrent d’activité constante, quand mon monde a juste arrêté. Le mouvement de la ville et la contradictoire immobilité dans ma tête étaient troublants avant qu’un jour j’aie trouvé une photo dans l’appartement de ma tante. C’était de ma mère, regardant pensivement par la fenêtre la Seine.  Puis, quand j’ai réfléchi sur elle, je l’ai imaginée par la Seine.
            Depuis cet instant, j’ai trouve ma mère partout. Elle était dans les jardins, parmi les fleurs des Bois de Vincennes, elle était le patron au café, un lecteur par la rivière.  Je pouvais l’imaginer, balader la rue du faubourg St Antoine et esquissant l’architecture d’Haussmann. Avec le souvenir de ma mère, le douzième arrondissement était devenu vivant. Le printemps coloriait la ville avec une essence gaie. Ma mère et Paris m’ont causé d’aimer encore le mouvement de vie.