Aujourd’hui était le
jour que le détective interrogeait Séraphine. Le détective s’est réveillé tôt
avec un sentiment d’anxiété. Il a un sentiment de Séraphine… elle était la
première personne de voir Amélie après sa morte. Il a un sentiment qu’elle est
l’assassin. Donc la question n’est pas qui ? Mais pourquoi ? Le
détective s’habille et conduit à 40 Rue de Saint-André. Maintenant, la conduite
à l’immeuble était très familière. Il entre l’immeuble. Quand il montre les
escaliers, il sent que la réponse à toutes ses questions se cachait dans le
bâtiment. Peut-être Séraphine à la réponse. Le détective frappe la porte de
Séraphine, soudainement, il est très nerveux. Cette interrogation est très
importante.
Séraphine ouvert la
porte. Elle est maigre et faible. Ses cheveux rouges encadrent son visage
fatigué et des yeux vifs, pleins de douleur.
« Bonjour,
entrez » elle dit avec une voix faible et petite.
« Bonjour »
le détective répondre avec une voix sérieuse et froide.
-
Donc je suppose que vous avez des
questions pour moi, non ?
-
Oui, vous avez raison.
-
Alors, ne perdez pas de temps et
finissiez avec ça.
Pourquoi est elle si impatient ?
Peut-être elle est nerveuse parce qu’elle est l’assassin. Le détective se racla
sa gorge…
« Le jour que vous trouvez le corps
d’Amélie, vous le trouvez dans son bureau à Vogue. Pourquoi étiez-vous à son
bureau ? » Demande le détective.
« Le jour où Amélie est morte était son
anniversaire. Elle était ma meilleure amie… je voulais faire une surprise pour
elle et sortir pour le diner avec elle pour son anniversaire. Mais quand je
suis arrivée… » Séraphine s’interrompit.
-
Mais est-ce que c’est vrai
qu’Amélie a écrit un mauvaise article en Vogue du Café de Flore où vous avez eu
votre exposition d’art ? Cet article doit avoir mal à votre exposition
d’art. Non ? Pourquoi voudriez-vous faire une surprise pour son
anniversaire après qu’elle a ruiné voter exposition d’art ?
-
Amélie n’était pas parfaite, mais
elle était ma amie. À cause de son article, nous avions beaucoup disputes. Mais
c’était son anniversaire. Je veux m’excuser et lui pardonner avec la surprise.
-
D’accord, est-ce que vous savez
quelque chose d’un collier de perles ? Réfléchissez.
-
Hmm… ah oui !! J’ai des
voisons Geneviève et Bijoux. Elles sont deux vieilles dames qui vivent dans le
bâtiment. L’autre jour j’ai entendu Geneviève et Bijoux discuter d’un collier
de perles. Mais c’est tout.
-
Ahh…Je vais être honnête avec vous
Madame. Vous rendez compte que votre histoire n’est pas très crédible Madame.
Vous étiez la personne qui trouvez le corps d’Amélie… ca vous fait la première
suspect. J’ai des problèmes de croire tout ce que vous dites.
Il y a des larmes de colère dans les yeux de
Séraphine. Elle se levé et approche
le détective menaçant.
-
Elle est ma meilleure amie
monsieur… vous n’avez pas le droit d’entre dans mon appartement et me dit que
je suis l’assassin de ma meilleure amie ! Je ne ferais jamais ça! Sortez
maintenant !
Séraphine claque la porte derrière du détective.
Le détective pause et pense à l’interrogation. Elle était très défensive. C’est très suspect. Peut-être elle
était si bouleversée parce qu’elle est l’assassin et il était proche de
découvrir son secret. Mais Séraphine mentionne des choses de Geneviève et
Bijoux et le collier. Le détective décide qu’il doit interroger Geneviève et
Bijoux pour trouver si Séraphine était couchée.
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