dimanche 15 décembre 2013

J9 (Francois Dupont) -Alessio


Un petite incident dans l'immeuble

Dehors, il faisait très mauvais temps. Assis devant la secrétaire dans mon appartement, j'ai travaillé sur mon dernier modèle d'architecture tout en écoutant le martèlement de la pluie sur ma petite fenêtre. Mon chauffage ne fonctionne pas bien; donc je suis allé à un magasin hier pour acheter un minuscule chauffage portable, le tout dernier que j’ai trouvé sur les étagères. Toutefois, le froid continue sans arrêt à pénétrer dans mon pull, me causant des frissons involontaires toutes les dix minutes. Désespéré, je me suis rapproché de ma cuisinière, en me frottant les mains rapidement pour me réchauffer. Après avoir rempli la cuve d’eau froide, j'ai essayé d'allumer des allumettes, mais une pige est tombée de mes doigts grelottant de froid. Enfin, j'ai réussi à allumer la plaque chauffante, et j’ai attendu avec beaucoup d'impatience l’ébullition de l’eau, afin que je puisse me préparer du thé vert chaud. Tout d'un coup, j'ai entendu un cri assourdissant venant du couloir. J'ai quitté la cuisinière sans surveillance et je me suis précipité vers la porte, impatient de voir ce qui se passait. Comme je me suis retrouvé dans le couloir, j'ai été étonné de voir Hugo, empoignant un autre homme par la gorge contre le mur.
Hugo a crié à gorge déployé, « Ne remets plus jamais les pieds dans cet appartement ! Si je te vois à nouveau ici, gare à toi, car tu ne recevras plus quelques coups mais je te descendrai »
L'homme plaqué contre le mur haletait de peur, les pieds en l’air. Hugo l’a renversé au sol rapidement et après il s’est retourné soudainement. Avant que je puisse rentrer dans ma chambre, Hugo a vu ma tête surgir de derrière la porte.
Hugo a hurlé encore une fois, « François, qu’est-ce que tu fous là? Fous le camp toute de suite ! Bas les pattes ! » 

J'ai hoché la tête et j'ai disparu en reculant silencieusement dans les ténèbres de ma chambre, en fermant lentement la porte à clé derrière moi, troublé par ce que je venais de voir. 

mardi 3 décembre 2013

Chapitre 6


Aujourd’hui était le jour que le détective interrogeait Séraphine. Le détective s’est réveillé tôt avec un sentiment d’anxiété. Il a un sentiment de Séraphine… elle était la première personne de voir Amélie après sa morte. Il a un sentiment qu’elle est l’assassin. Donc la question n’est pas qui ? Mais pourquoi ? Le détective s’habille et conduit à 40 Rue de Saint-André. Maintenant, la conduite à l’immeuble était très familière. Il entre l’immeuble. Quand il montre les escaliers, il sent que la réponse à toutes ses questions se cachait dans le bâtiment. Peut-être Séraphine à la réponse. Le détective frappe la porte de Séraphine, soudainement, il est très nerveux. Cette interrogation est très importante.
Séraphine ouvert la porte. Elle est maigre et faible. Ses cheveux rouges encadrent son visage fatigué et des yeux vifs, pleins de douleur.
« Bonjour, entrez » elle dit avec une voix faible et petite.
« Bonjour » le détective répondre avec une voix sérieuse et froide.
-       Donc je suppose que vous avez des questions pour moi, non ?
-       Oui, vous avez raison.
-       Alors, ne perdez pas de temps et finissiez avec ça.
Pourquoi est elle si impatient ? Peut-être elle est nerveuse parce qu’elle est l’assassin. Le détective se racla sa gorge…
« Le jour que vous trouvez le corps d’Amélie, vous le trouvez dans son bureau à Vogue. Pourquoi étiez-vous à son bureau ? » Demande le détective.
« Le jour où Amélie est morte était son anniversaire. Elle était ma meilleure amie… je voulais faire une surprise pour elle et sortir pour le diner avec elle pour son anniversaire. Mais quand je suis arrivée… » Séraphine s’interrompit.
-       Mais est-ce que c’est vrai qu’Amélie a écrit un mauvaise article en Vogue du Café de Flore où vous avez eu votre exposition d’art ? Cet article doit avoir mal à votre exposition d’art. Non ? Pourquoi voudriez-vous faire une surprise pour son anniversaire après qu’elle a ruiné voter exposition d’art ?
-       Amélie n’était pas parfaite, mais elle était ma amie. À cause de son article, nous avions beaucoup disputes. Mais c’était son anniversaire. Je veux m’excuser et lui pardonner avec la surprise.
-       D’accord, est-ce que vous savez quelque chose d’un collier de perles ? Réfléchissez.
-       Hmm… ah oui !! J’ai des voisons Geneviève et Bijoux. Elles sont deux vieilles dames qui vivent dans le bâtiment. L’autre jour j’ai entendu Geneviève et Bijoux discuter d’un collier de perles. Mais c’est tout.
-       Ahh…Je vais être honnête avec vous Madame. Vous rendez compte que votre histoire n’est pas très crédible Madame. Vous étiez la personne qui trouvez le corps d’Amélie… ca vous fait la première suspect. J’ai des problèmes de croire tout ce que vous dites.
Il y a des larmes de colère dans les yeux de Séraphine. Elle se levé et  approche le détective menaçant.
-       Elle est ma meilleure amie monsieur… vous n’avez pas le droit d’entre dans mon appartement et me dit que je suis l’assassin de ma meilleure amie ! Je ne ferais jamais ça! Sortez maintenant !
Séraphine claque la porte derrière du détective. Le détective pause et pense à l’interrogation. Elle était très défensive.  C’est très suspect. Peut-être elle était si bouleversée parce qu’elle est l’assassin et il était proche de découvrir son secret. Mais Séraphine mentionne des choses de Geneviève et Bijoux et le collier. Le détective décide qu’il doit interroger Geneviève et Bijoux pour trouver si Séraphine était couchée.